Sandra Day O'Connor est une juriste américaine née le 26 mars 1930 à El Paso, Texas. Elle est la première femme à siéger au Tribunal suprême des États-Unis de l'histoire de ce pays.
Après avoir obtenu son diplôme en droit de l'université d'Arizona, elle exerce le barreau dans l'État de Californie. En 1959, Sandra Day O'Connor est élue juge du comté d'Orange en Californie. Elle gravit progressivement les échelons juridiques et devient en 1979 la première femme juge à la Cour suprême de l'Arizona.
En 1981, le président Ronald Reagan la nomme à la Cour suprême des États-Unis pour succéder au juge Potter Stewart. Elle est confirmée par le Sénat en septembre 1981 et siège au Tribunal suprême jusqu'à sa retraite en janvier 2006.
Au cours de sa carrière juridique, Sandra Day O'Connor a participé à de nombreuses décisions éminentes, notamment concernant l'abortion, les droits civils et les libertés fondamentales. Elle est considérée comme une juriste modérée, capable de trouver des compromis entre les différents points de vue.
Après sa retraite du Tribunal suprême, Sandra Day O'Connor reste active dans le domaine juridique et est impliquée notamment dans la lutte contre l'absence de protection des enfants sur Internet. Elle a également publié plusieurs livres et conférences pour partager ses expériences et son expertise.
Après avoir obtenu son diplôme en droit de l'université d'Arizona, elle exerce le barreau dans l'État de Californie. En 1959, Sandra Day O'Connor est élue juge du comté d'Orange en Californie. Elle gravit progressivement les échelons juridiques et devient en 1979 la première femme juge à la Cour suprême de l'Arizona.
En 1981, le président Ronald Reagan la nomme à la Cour suprême des États-Unis pour succéder au juge Potter Stewart. Elle est confirmée par le Sénat en septembre 1981 et siège au Tribunal suprême jusqu'à sa retraite en janvier 2006.
Au cours de sa carrière juridique, Sandra Day O'Connor a participé à de nombreuses décisions éminentes, notamment concernant l'abortion, les droits civils et les libertés fondamentales. Elle est considérée comme une juriste modérée, capable de trouver des compromis entre les différents points de vue.
Après sa retraite du Tribunal suprême, Sandra Day O'Connor reste active dans le domaine juridique et est impliquée notamment dans la lutte contre l'absence de protection des enfants sur Internet. Elle a également publié plusieurs livres et conférences pour partager ses expériences et son expertise.
