Saint Ambroise est né vers l'an 340 à Milan, dans l'Empire romain. Issu d'une famille aisée, il appartenait à la noblesse milanaise. Sa mère était une chrétienne dévouée, tandis que son père, Ambroge, se convertira plus tard après avoir été bouleversé par la conversion de son fils.
Ambroise a été éduqué en droit et en philosophie à Rome, où il acquiert également une solide formation dans les lettres grecques. Son talent intellectuel est rapidement remarqué, ce qui lui permet de devenir préfet du prétoire à l'âge de 28 ans.
En 374, Ambroise succède à son frère Saturnin dans la fonction de curateur de Milan. Deux ans plus tard, il devient également sénateur. Cependant, lorsque son oncle, le préfet du prétoire Paul, est accusé d'hérésie et exilé en 386, Ambroise décide de se consacrer à la religion chrétienne.
Après la mort de l'évêque Auxence, Ambroise est choisi pour lui succéder par le peuple milanais. Il est ordonné évêque en 387 et devient ainsi le premier évêque non romain à diriger la grande diocèse de Milan.
Durant son ministère, Ambroise est connu pour sa défense des droits des pauvres et de l'Église contre les pressions de l'État. Il intervient également dans plusieurs affaires politiques importantes de l'époque, notamment lors de la conversion de Théodose Ier à la religion chrétienne en 380 et lors des dissensions entre le pape Désiré et le roi de France Syagre.
Ambroise est également un écrivain prolifique, auteur d'ouvrages théologiques, moraux, philosophiques et politiques. Son traité sur la Trinité a eu une grande influence dans l'histoire de la théologie chrétienne.
Saint Ambroise meurt le 4 avril 397 à Milan. Il est canonisé en 406 par le pape Sylvestre Ier et est fêté le 7 décembre. Dans le calendrier des saints orthodoxes, sa fête est célébrée le 15 mars.
Ambroise a été éduqué en droit et en philosophie à Rome, où il acquiert également une solide formation dans les lettres grecques. Son talent intellectuel est rapidement remarqué, ce qui lui permet de devenir préfet du prétoire à l'âge de 28 ans.
En 374, Ambroise succède à son frère Saturnin dans la fonction de curateur de Milan. Deux ans plus tard, il devient également sénateur. Cependant, lorsque son oncle, le préfet du prétoire Paul, est accusé d'hérésie et exilé en 386, Ambroise décide de se consacrer à la religion chrétienne.
Après la mort de l'évêque Auxence, Ambroise est choisi pour lui succéder par le peuple milanais. Il est ordonné évêque en 387 et devient ainsi le premier évêque non romain à diriger la grande diocèse de Milan.
Durant son ministère, Ambroise est connu pour sa défense des droits des pauvres et de l'Église contre les pressions de l'État. Il intervient également dans plusieurs affaires politiques importantes de l'époque, notamment lors de la conversion de Théodose Ier à la religion chrétienne en 380 et lors des dissensions entre le pape Désiré et le roi de France Syagre.
Ambroise est également un écrivain prolifique, auteur d'ouvrages théologiques, moraux, philosophiques et politiques. Son traité sur la Trinité a eu une grande influence dans l'histoire de la théologie chrétienne.
Saint Ambroise meurt le 4 avril 397 à Milan. Il est canonisé en 406 par le pape Sylvestre Ier et est fêté le 7 décembre. Dans le calendrier des saints orthodoxes, sa fête est célébrée le 15 mars.
