Robert Gueï (ou Guéï) est né le 26 septembre 1930 à Ouagadougou (Burkina Faso) et décédé le 18 juin 2002 à Paris (France). Il est connu pour avoir été président de la République du Haut-Volta (maintenant le Burkina Faso), du 4 novembre 1980 au 5 août 1982.
Avant son accession à la présidence, Gueï occupait plusieurs postes importants dans l'administration gouvernementale de Thomas Sankara. En effet, il était le ministre de l'Agriculture et de la Coopération de 1974 à 1980.
Le 4 novembre 1980, Gueï dirige une coup d’État militaire qui renverse Thomas Sankara. Il prend alors les fonctions de président de la République avec le grade de général. Son gouvernement mène des politiques économiques plus conservatrices que celles de son prédécesseur, en privilégiant les investissements etrangers plutôt qu'aux intérêts du peuple burkinabé.
Le 5 août 1982, Gueï est renversé par un nouveau coup d’État militaire mené par le capitaine Blaise Compaoré qui prend alors les rênes du pouvoir. Gueï quitte le Burkina Faso pour l'exil en Côte d'Ivoire, où il réside jusqu'à sa mort.
En 2001, Gueï est condamné par contumace à une peine de prison à vie au Burkina Faso, accusé de crimes contre l'humanité et de corruption.
Avant son accession à la présidence, Gueï occupait plusieurs postes importants dans l'administration gouvernementale de Thomas Sankara. En effet, il était le ministre de l'Agriculture et de la Coopération de 1974 à 1980.
Le 4 novembre 1980, Gueï dirige une coup d’État militaire qui renverse Thomas Sankara. Il prend alors les fonctions de président de la République avec le grade de général. Son gouvernement mène des politiques économiques plus conservatrices que celles de son prédécesseur, en privilégiant les investissements etrangers plutôt qu'aux intérêts du peuple burkinabé.
Le 5 août 1982, Gueï est renversé par un nouveau coup d’État militaire mené par le capitaine Blaise Compaoré qui prend alors les rênes du pouvoir. Gueï quitte le Burkina Faso pour l'exil en Côte d'Ivoire, où il réside jusqu'à sa mort.
En 2001, Gueï est condamné par contumace à une peine de prison à vie au Burkina Faso, accusé de crimes contre l'humanité et de corruption.
