Pierre Nicolas Chrysostome Legrand (30 mai 1758 - 25 janvier 1846), connu sous le nom de Pierre-Nicolas Legrand de Saint-Fargeau, est un militaire et homme politique français.
Il est né à Bar-sur-Aube dans l'actuelle région Grand Est. Il rejoint l'armée en 1780 où il atteint le grade de capitaine. En 1790, il quitte l'armée pour se consacrer à la politique et devient un membre actif du parti jacobin.
En 1791, il est élu député du département de l'Aube à l'Assemblée législative. Pendant la Terreur, il occupe plusieurs postes importants dans les gouvernements révolutionnaires et joue un rôle important dans le procès des Girondins en 1793.
En 1795, il est élu au Conseil des Anciens de la Convention bicamérale jusqu'à sa dissolution en 1799. Il soutient l'établissement du Directoire en 1795 et devient un membre du gouvernement provisoire de cette période.
Lorsque le Consulat est établi par Napoléon Bonaparte, Legrand est nommé au Sénat conservateur jusqu'en 1807, où il refuse de se conformer à la loi sur les héréditaires du Sénat et quitte son poste.
Il passe le reste de sa vie en privé, tout en continuant à s'impliquer dans l'administration municipale de Paris jusqu'à sa mort en 1846. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
Il est né à Bar-sur-Aube dans l'actuelle région Grand Est. Il rejoint l'armée en 1780 où il atteint le grade de capitaine. En 1790, il quitte l'armée pour se consacrer à la politique et devient un membre actif du parti jacobin.
En 1791, il est élu député du département de l'Aube à l'Assemblée législative. Pendant la Terreur, il occupe plusieurs postes importants dans les gouvernements révolutionnaires et joue un rôle important dans le procès des Girondins en 1793.
En 1795, il est élu au Conseil des Anciens de la Convention bicamérale jusqu'à sa dissolution en 1799. Il soutient l'établissement du Directoire en 1795 et devient un membre du gouvernement provisoire de cette période.
Lorsque le Consulat est établi par Napoléon Bonaparte, Legrand est nommé au Sénat conservateur jusqu'en 1807, où il refuse de se conformer à la loi sur les héréditaires du Sénat et quitte son poste.
Il passe le reste de sa vie en privé, tout en continuant à s'impliquer dans l'administration municipale de Paris jusqu'à sa mort en 1846. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris.
