Laurent Piazza, connu sous le nom de Piazza Laurence, est un acteur franco-suisse né à Genève (Suisse) le 25 août 1984. Il commence sa carrière d'acteur en 1996 dans la série télévisée française "Les Cordier, juge et flic".
En 2003, il obtient un rôle important dans le film "La Petite Lili" réalisé par François Ozon. Cette même année, il joue dans le téléfilm "Le Mariage de raison" aux côtés d'Emmanuelle Béart et Jérémie Renier.
En 2005, Piazza Laurence est à l'affiche du film "Un long dimanche de fiançailles", réalisé par Jean-Pierre Jeunet, aux côtés de Audrey Tautou, Géraldine Pailhas et Kristin Scott Thomas.
En 2014, il joue dans la série télévisée française "Spiral" ("Engrenages").
Il a également participé à plusieurs opéras en tant que chanteur, notamment à Paris au Palais Garnier ou encore à Bruxelles à l'Opéra de Wallonie.
Piazza Laurence est connu pour sa polyvalence : il est capable de jouer des rôles d'action comme ceux de "Le Grand Bond" (2008) et "La Chute de Fandor" (2014), mais aussi des rôles plus dramatiques comme ceux de "La Petite Lili" (2003) ou encore "Les Émotifs anonymes" (2006).
Il a été nommé quatre fois aux César du cinéma, sans toutefois remporter le prix.
En 2003, il obtient un rôle important dans le film "La Petite Lili" réalisé par François Ozon. Cette même année, il joue dans le téléfilm "Le Mariage de raison" aux côtés d'Emmanuelle Béart et Jérémie Renier.
En 2005, Piazza Laurence est à l'affiche du film "Un long dimanche de fiançailles", réalisé par Jean-Pierre Jeunet, aux côtés de Audrey Tautou, Géraldine Pailhas et Kristin Scott Thomas.
En 2014, il joue dans la série télévisée française "Spiral" ("Engrenages").
Il a également participé à plusieurs opéras en tant que chanteur, notamment à Paris au Palais Garnier ou encore à Bruxelles à l'Opéra de Wallonie.
Piazza Laurence est connu pour sa polyvalence : il est capable de jouer des rôles d'action comme ceux de "Le Grand Bond" (2008) et "La Chute de Fandor" (2014), mais aussi des rôles plus dramatiques comme ceux de "La Petite Lili" (2003) ou encore "Les Émotifs anonymes" (2006).
Il a été nommé quatre fois aux César du cinéma, sans toutefois remporter le prix.
