Jean-Pierre, de son vrai nom Jean-Pierre Bemba Gombo, est un homme politique congolais né le 5 octobre 1962 à Kikwit, dans la province du Kasaï occidental en République démocratique du Congo. Il est actuellement l'un des chefs les plus importants de l'opposition au pouvoir en RDC.
Bemba a commencé sa carrière politique après avoir occupé divers postes militaires dans l’armée congolaise, dont celui de commandant en chef des forces armées du Congo-Zaïre entre 2003 et 2006. En 2006, il a fait son entrée en politique en fondant le Mouvement de libération du Congo (MLC), qui devint un parti politique important dans le pays.
En 2006, Jean-Pierre Bemba est élu sénateur et prend la tête d'une liste concurrente au président en 2011, mais il est finalement exclu de l’élection après que ses partisans ont été accusés de violences. En 2018, Jean-Pierre Bemba est de nouveau candidat à l'élection présidentielle et termine en troisième position derrière Félix Tshisekedi et Emmanuel Ramazani Shadary.
Bemba a également été condamné par la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes de guerre commis à Kinshasa en 2002-2003, mais il a été gracié par le président français Emmanuel Macron en 2018 après qu'il eut terminé sa peine de prison.
Jean-Pierre Bemba est considéré comme l’un des chefs les plus influents et les plus populaires de l’opposition au pouvoir en RDC, notamment grâce à son passé militaire et à ses efforts pour la paix et la stabilité dans le pays. Il est également connu pour sa défiance face au pouvoir en place et pour son engagement constant contre la corruption et l'insécurité dans le pays.
Bemba a commencé sa carrière politique après avoir occupé divers postes militaires dans l’armée congolaise, dont celui de commandant en chef des forces armées du Congo-Zaïre entre 2003 et 2006. En 2006, il a fait son entrée en politique en fondant le Mouvement de libération du Congo (MLC), qui devint un parti politique important dans le pays.
En 2006, Jean-Pierre Bemba est élu sénateur et prend la tête d'une liste concurrente au président en 2011, mais il est finalement exclu de l’élection après que ses partisans ont été accusés de violences. En 2018, Jean-Pierre Bemba est de nouveau candidat à l'élection présidentielle et termine en troisième position derrière Félix Tshisekedi et Emmanuel Ramazani Shadary.
Bemba a également été condamné par la Cour pénale internationale (CPI) pour des crimes de guerre commis à Kinshasa en 2002-2003, mais il a été gracié par le président français Emmanuel Macron en 2018 après qu'il eut terminé sa peine de prison.
Jean-Pierre Bemba est considéré comme l’un des chefs les plus influents et les plus populaires de l’opposition au pouvoir en RDC, notamment grâce à son passé militaire et à ses efforts pour la paix et la stabilité dans le pays. Il est également connu pour sa défiance face au pouvoir en place et pour son engagement constant contre la corruption et l'insécurité dans le pays.
