Paul Lerolle est un acteur et metteur en scène franco-belge né le 26 janvier 1957 à Bruxelles (Belgique). Il a commencé sa carrière au théâtre et a joué dans de nombreuses pièces, notamment "La Nuit des rois" de Shakespeare, "L'Aigle à deux têtes" de Jean Cocteau ou encore "Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran" d'Éric-Emmanuel Schmitt.
En 1985, il a fait ses débuts au cinéma dans le film "Boulevard des enfants perdus" de Pierre Boutron. Parmi ses rôles les plus connus aux côtés du grand écran, on peut compter celui d'Alain Delon dans le film policier "Le Sang du boucher" (1989) ou encore dans "Tombé du ciel" de Bernard Jeanjean et d'Éric Le Roux (2005).
En 2002, Paul Lerolle a reçu le Molière du comédien pour son interprétation du personnage titre de la pièce "Ruy Blas" de Victor Hugo. Il a également été nommé deux fois aux Césars dans la catégorie Meilleur acteur dans un second rôle, en 1992 pour le film "La Belle Verte" et en 2014 pour le film "Quai d'Orsay".
Paul Lerolle est également connu pour ses activités de metteur en scène. Il a notamment dirigé des pièces de théâtre telles que "L'Avare" de Molière, "La Périchole" de Jacques Offenbach ou encore "Le Roi se meurt" d'Édouard Pailleron.
En 1985, il a fait ses débuts au cinéma dans le film "Boulevard des enfants perdus" de Pierre Boutron. Parmi ses rôles les plus connus aux côtés du grand écran, on peut compter celui d'Alain Delon dans le film policier "Le Sang du boucher" (1989) ou encore dans "Tombé du ciel" de Bernard Jeanjean et d'Éric Le Roux (2005).
En 2002, Paul Lerolle a reçu le Molière du comédien pour son interprétation du personnage titre de la pièce "Ruy Blas" de Victor Hugo. Il a également été nommé deux fois aux Césars dans la catégorie Meilleur acteur dans un second rôle, en 1992 pour le film "La Belle Verte" et en 2014 pour le film "Quai d'Orsay".
Paul Lerolle est également connu pour ses activités de metteur en scène. Il a notamment dirigé des pièces de théâtre telles que "L'Avare" de Molière, "La Périchole" de Jacques Offenbach ou encore "Le Roi se meurt" d'Édouard Pailleron.
