ici est présentée la biographie du célèbre réalisateur et scénariste français Gérard Pirès :
Gérard Pirès, né le 7 juillet 1936 à Alger (Algérie), est un réalisateur, scénariste et producteur français. Il est considéré comme l'un des grands auteurs du cinéma français et a laissé son empreinte dans les domaines du cinéma fantastique, de l'action et de l'horreur.
Après une première carrière en tant que réalisateur d'émissions pour enfants à Alger au début des années 1960, Gérard Pirès débarque à Paris en 1962 où il commence à travailler comme assistant réalisateur dans les studios de la société Pathé. Il écrit et réalise son premier long-métrage, "Le Monstre à l'Aïeul", en 1963, qui connaît un certain succès critique mais commercial modeste.
Dans les années suivantes, Gérard Pirès écrit et met en scène plusieurs autres films pour la télévision avant de rencontrer le succès avec "Les Raisins de la colère" (1970) et "Le Guignolo" (1972), deux films d'horreur qui ont connu un large écho auprès du public.
C'est en 1975 que Gérard Pirès connaît le plus grand succès de sa carrière avec "Tueurs de filles en série", film qui raconte l'histoire d'une bande de tueurs en série qui sévissent dans la région parisienne. Ce film, qui s'inspire de faits réels et de l'affaire des tueurs en série du TGV, connaît un énorme succès commercial et critique, ainsi que deux suites : "La Maison des tueurs" (1980) et "Tueurs de filles 2" (1984).
Dans les années suivantes, Gérard Pirès continue à travailler principalement dans le domaine du cinéma fantastique avec des films comme "Le Vaisseau fantôme" (1977) et "L'Arbalète de l'ange" (1980), ainsi que plusieurs adaptations d'œuvres littéraires telles que "La Guerre des boucles d'or" (1976) et "La Maison du docteur Jekyll" (1981).
Au cours de sa carrière, Gérard Pirès a également produit plusieurs films, dont "Le Flic" de William Friedkin (1972), "Baby Face Nelson" de John Ryan (1975) et "Barbarella" de Roger Vadim (1968).
Gérard Pirès a reçu plusieurs récompenses pour son travail, notamment le César du meilleur réalisateur en 1976 pour "Tueurs de filles en série". Il est également membre honoraire de l'Académie des beaux-arts.
Aujourd'hui, Gérard Pirès continue à travailler sur plusieurs projets cinématographiques et a pris sa retraite à La Rochelle.
Gérard Pirès, né le 7 juillet 1936 à Alger (Algérie), est un réalisateur, scénariste et producteur français. Il est considéré comme l'un des grands auteurs du cinéma français et a laissé son empreinte dans les domaines du cinéma fantastique, de l'action et de l'horreur.
Après une première carrière en tant que réalisateur d'émissions pour enfants à Alger au début des années 1960, Gérard Pirès débarque à Paris en 1962 où il commence à travailler comme assistant réalisateur dans les studios de la société Pathé. Il écrit et réalise son premier long-métrage, "Le Monstre à l'Aïeul", en 1963, qui connaît un certain succès critique mais commercial modeste.
Dans les années suivantes, Gérard Pirès écrit et met en scène plusieurs autres films pour la télévision avant de rencontrer le succès avec "Les Raisins de la colère" (1970) et "Le Guignolo" (1972), deux films d'horreur qui ont connu un large écho auprès du public.
C'est en 1975 que Gérard Pirès connaît le plus grand succès de sa carrière avec "Tueurs de filles en série", film qui raconte l'histoire d'une bande de tueurs en série qui sévissent dans la région parisienne. Ce film, qui s'inspire de faits réels et de l'affaire des tueurs en série du TGV, connaît un énorme succès commercial et critique, ainsi que deux suites : "La Maison des tueurs" (1980) et "Tueurs de filles 2" (1984).
Dans les années suivantes, Gérard Pirès continue à travailler principalement dans le domaine du cinéma fantastique avec des films comme "Le Vaisseau fantôme" (1977) et "L'Arbalète de l'ange" (1980), ainsi que plusieurs adaptations d'œuvres littéraires telles que "La Guerre des boucles d'or" (1976) et "La Maison du docteur Jekyll" (1981).
Au cours de sa carrière, Gérard Pirès a également produit plusieurs films, dont "Le Flic" de William Friedkin (1972), "Baby Face Nelson" de John Ryan (1975) et "Barbarella" de Roger Vadim (1968).
Gérard Pirès a reçu plusieurs récompenses pour son travail, notamment le César du meilleur réalisateur en 1976 pour "Tueurs de filles en série". Il est également membre honoraire de l'Académie des beaux-arts.
Aujourd'hui, Gérard Pirès continue à travailler sur plusieurs projets cinématographiques et a pris sa retraite à La Rochelle.
