Nicolas Lémery est un chimiste et pharmacien français né à Paris le 23 mai 1741 et mort dans cette même ville le 6 juin 1804.
Il fit des études de médecine à Montpellier et de pharmacie à Paris, où il obtint son doctorat en 1769. Il devint ensuite professeur d'anatomie et de chimie à l'École de pharmacie et à l'École Royale Militaire de Médecine.
Il est connu pour ses travaux sur la teinture, notamment le rouge de ferric, et pour avoir inventé les premiers procédés industriels pour la fabrication de divers colorants chimiques. Il publia un ouvrage intitulé "Pharmacie des Teinturiers" (1780), qui eut un grand retentissement en Europe et aux États-Unis, et fut traduit en plusieurs langues.
En outre, il contribua à l'amélioration de la fabrication du sucre de betterave, qui était alors un élément clé de l'industrie sucrière française.
Il fut également un des premiers à rechercher des substituts à la Percine (substance utilisée pour les poudres à infliger des blessures sur ordre des magistrats), notamment en utilisant l'arsenic, ce qui lui valut d'être accusé de meurtres par ses détracteurs.
Enfin, il fut élu membre de l'Académie royale des Sciences de Paris en 1785 et obtint la Légion d'honneur en 1804.
Il fit des études de médecine à Montpellier et de pharmacie à Paris, où il obtint son doctorat en 1769. Il devint ensuite professeur d'anatomie et de chimie à l'École de pharmacie et à l'École Royale Militaire de Médecine.
Il est connu pour ses travaux sur la teinture, notamment le rouge de ferric, et pour avoir inventé les premiers procédés industriels pour la fabrication de divers colorants chimiques. Il publia un ouvrage intitulé "Pharmacie des Teinturiers" (1780), qui eut un grand retentissement en Europe et aux États-Unis, et fut traduit en plusieurs langues.
En outre, il contribua à l'amélioration de la fabrication du sucre de betterave, qui était alors un élément clé de l'industrie sucrière française.
Il fut également un des premiers à rechercher des substituts à la Percine (substance utilisée pour les poudres à infliger des blessures sur ordre des magistrats), notamment en utilisant l'arsenic, ce qui lui valut d'être accusé de meurtres par ses détracteurs.
Enfin, il fut élu membre de l'Académie royale des Sciences de Paris en 1785 et obtint la Légion d'honneur en 1804.
