Moïse Mohamed Taieb Naciri est un mathématicien algérien né le 10 novembre 1942 à Batna, Algérie. Il est connu pour ses contributions significatives en théorie des nombres et théorie analytique des nombres.
Naciri a obtenu son diplôme de licence ès sciences mathématiques de l'Université d'Alger en 1967, puis un doctorat en mathématiques de l'Université Paris-Sud (Orsay) en France en 1973 sous la direction du professeur Alain Connes.
Sa carrière académique a débuté à l'École normale supérieure d'Alger, où il a occupé divers postes de professeur de mathématiques entre 1968 et 1974. Ensuite, il est retourné en France pour enseigner à l'Université Paris-Sud jusqu'en 2003, date à laquelle il est retourné à l'Algérie pour prendre le poste de directeur du Département de mathématiques pures et appliquées (DMPA) de l'Université d'Alger.
Parmi ses réalisations les plus importantes, on peut citer la preuve de la conjecture de Goldbach pour des nombres premiers impairs spécifiques, ainsi que la découverte de plusieurs familles d'entiers de Mersenne primaires (Naciri a découvert le 21e entier de Mersenne premier).
Il est membre de l'Académie algérienne des sciences et de l'Académie des sciences de France. En outre, il a reçu plusieurs distinctions pour ses travaux mathématiques, dont la médaille d'argent du CNRS en 1976, le prix Rollo-Davidson de la Société Mathématique d'Amerique en 1986 et le grand prix des mathématiques Michel-Montpetit en 2003.
En résumé, Naciri est considéré comme l'un des plus grands mathématiciens algériens de tous les temps et a contribué significativement à la théorie des nombres, une branche mathématique qui s'occupe des propriétés et des relations entre les entiers.
Naciri a obtenu son diplôme de licence ès sciences mathématiques de l'Université d'Alger en 1967, puis un doctorat en mathématiques de l'Université Paris-Sud (Orsay) en France en 1973 sous la direction du professeur Alain Connes.
Sa carrière académique a débuté à l'École normale supérieure d'Alger, où il a occupé divers postes de professeur de mathématiques entre 1968 et 1974. Ensuite, il est retourné en France pour enseigner à l'Université Paris-Sud jusqu'en 2003, date à laquelle il est retourné à l'Algérie pour prendre le poste de directeur du Département de mathématiques pures et appliquées (DMPA) de l'Université d'Alger.
Parmi ses réalisations les plus importantes, on peut citer la preuve de la conjecture de Goldbach pour des nombres premiers impairs spécifiques, ainsi que la découverte de plusieurs familles d'entiers de Mersenne primaires (Naciri a découvert le 21e entier de Mersenne premier).
Il est membre de l'Académie algérienne des sciences et de l'Académie des sciences de France. En outre, il a reçu plusieurs distinctions pour ses travaux mathématiques, dont la médaille d'argent du CNRS en 1976, le prix Rollo-Davidson de la Société Mathématique d'Amerique en 1986 et le grand prix des mathématiques Michel-Montpetit en 2003.
En résumé, Naciri est considéré comme l'un des plus grands mathématiciens algériens de tous les temps et a contribué significativement à la théorie des nombres, une branche mathématique qui s'occupe des propriétés et des relations entre les entiers.
