Mohamed Iguerbouchène est un chercheur et un ingénieur français d'origine algérienne. Né le 26 mai 1953 à Oran (Algérie), il a grandi dans une famille modeste qui encourageait les études.
En 1970, Mohamed Iguerbouchène est admis à l'École nationale des ponts et chaussées en France. Diplômé de cette école en 1974, il rejoint la Direction générale de l'Armement (DGA) puis l'Agence spatiale européenne (ESA), où il travaille sur la conception de roquettes à propergol solide.
En 1986, il est nommé professeur d'ingénierie des structures au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM). Il a également enseigné à l'École centrale Paris et à l'École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA).
Mohamed Iguerbouchène est particulièrement connu pour ses travaux sur la conception et le développement de matériaux composites. Il a obtenu plusieurs brevets de ces domaines, notamment en matière de fibres de carbone. En 2013, il reçoit le prix du Mérite des sciences et techniques de l'Académie française pour ses contributions importantes au domaine des matériaux composites.
Il est membre correspondant de l'Académie des technologies depuis 2005 et a été élevé à la dignité d'officier dans l'Ordre national du Mérite en 1998. En 2008, il reçoit le Grand prix Henri-Totem de l'Académie des sciences.
En 1970, Mohamed Iguerbouchène est admis à l'École nationale des ponts et chaussées en France. Diplômé de cette école en 1974, il rejoint la Direction générale de l'Armement (DGA) puis l'Agence spatiale européenne (ESA), où il travaille sur la conception de roquettes à propergol solide.
En 1986, il est nommé professeur d'ingénierie des structures au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM). Il a également enseigné à l'École centrale Paris et à l'École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA).
Mohamed Iguerbouchène est particulièrement connu pour ses travaux sur la conception et le développement de matériaux composites. Il a obtenu plusieurs brevets de ces domaines, notamment en matière de fibres de carbone. En 2013, il reçoit le prix du Mérite des sciences et techniques de l'Académie française pour ses contributions importantes au domaine des matériaux composites.
Il est membre correspondant de l'Académie des technologies depuis 2005 et a été élevé à la dignité d'officier dans l'Ordre national du Mérite en 1998. En 2008, il reçoit le Grand prix Henri-Totem de l'Académie des sciences.
