Moḥammed Iguerbouchène est un écrivain et journaliste franco-algérien, né le 28 janvier 1954 à Sétif en Algérie.
Il a commencé sa carrière journalistique au quotidien français Le Monde. Il fut correspondant de guerre pour cette publication pendant la guerre civile algérienne et le conflit israélo-arabe de 1982. En 1987, il a été nommé rédacteur en chef du journal algérien El Moudjahid.
En 1993, il a été condamné à mort par contumace pour haute trahison et espionnage lors d'un procès politique en Algérie. Il a choisi de ne pas rentrer dans son pays natal jusqu'à ce que la peine contre lui soit annulée en 2003, après l'accession au pouvoir du président Abdelaziz Bouteflika.
Iguerbouchen a écrit plusieurs livres sur la politique et la société algérienne, dont "La guerre à la trancheuse" (1984), "Le pays des mirages" (1987) et "La république du vide" (2005). Il est également connu pour ses articles dans des revues telles que L'Express, Libération, Le Monde diplomatique et Le Monde.
Il est reconnu comme un des écrivains algériens les plus importants de la génération qui a grandi pendant la guerre d'Algérie. Son œuvre littéraire est marquée par une forte critique de la société algérienne, en particulier du régime politique en place depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962.
Iguerbouchen a également reçu plusieurs prix littéraires prestigieux pour son travail, notamment le Prix Goncourt et le Prix Médicis étranger en France. Il est considéré comme un symbole de la liberté d'expression et du courage face à la dictature dans son pays natal, ainsi qu'un défenseur des droits humains et de la démocratie au Maghreb.
Il a commencé sa carrière journalistique au quotidien français Le Monde. Il fut correspondant de guerre pour cette publication pendant la guerre civile algérienne et le conflit israélo-arabe de 1982. En 1987, il a été nommé rédacteur en chef du journal algérien El Moudjahid.
En 1993, il a été condamné à mort par contumace pour haute trahison et espionnage lors d'un procès politique en Algérie. Il a choisi de ne pas rentrer dans son pays natal jusqu'à ce que la peine contre lui soit annulée en 2003, après l'accession au pouvoir du président Abdelaziz Bouteflika.
Iguerbouchen a écrit plusieurs livres sur la politique et la société algérienne, dont "La guerre à la trancheuse" (1984), "Le pays des mirages" (1987) et "La république du vide" (2005). Il est également connu pour ses articles dans des revues telles que L'Express, Libération, Le Monde diplomatique et Le Monde.
Il est reconnu comme un des écrivains algériens les plus importants de la génération qui a grandi pendant la guerre d'Algérie. Son œuvre littéraire est marquée par une forte critique de la société algérienne, en particulier du régime politique en place depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962.
Iguerbouchen a également reçu plusieurs prix littéraires prestigieux pour son travail, notamment le Prix Goncourt et le Prix Médicis étranger en France. Il est considéré comme un symbole de la liberté d'expression et du courage face à la dictature dans son pays natal, ainsi qu'un défenseur des droits humains et de la démocratie au Maghreb.
