Michel Seuphor (29 juin 1906 - 4 septembre 1998) fut un critique d'art et historien français, connu pour son travail sur l'abstraction et le mouvement d'avant-garde du XXe siècle.
Né à Paris, Seuphor grandit dans une famille de la bourgeoisie intellectuelle, qui l'inspira à s'intéresser à l'art depuis sa jeunesse. Après des études secondaires à Orléans et au lycée Louis-le-Grand à Paris, il fréquenta les universités de Lyon et de Paris pour étudier la philosophie et la sociologie.
En 1928, Seuphor commença à travailler comme journaliste à "La Dépêche de Toulouse", où il écrivit sur la littérature, la musique et l'art. À partir de 1930, il se spécialisa dans le domaine de l'art contemporain et commença à collaborer avec des revues telles que "Cahiers d'Art" et "Les Cahiers du Sud".
En 1935, Seuphor publia son premier livre, "L'École de Paris", qui est considéré comme un classique sur l'histoire de l'art abstrait. Il reçut une grande attention pour cette étude approfondie des artistes qui travaillaient à Paris et contribuèrent au mouvement d'avant-garde, y compris les membres fondateurs du groupe Abstraction-Création.
En 1937, Seuphor participa à l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes à Paris, qui marqua une étape importante dans son développement professionnel. Il écrivit également pour la revue "Arts et Métiers Graphiques", qui était consacrée aux avancées technologiques dans le monde de l'art graphique.
Après l'Occupation allemande de la France, Seuphor continua à travailler comme critique d'art pour diverses publications et également comme professeur à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. Il publia plusieurs autres livres sur les artistes du XXe siècle, notamment "Surréalisme" en 1947, "Les Peintres de la peur" en 1948 et "Le Cubisme" en 1962.
En 1953, Seuphor reçut le prix de la critique d'art pour son livre "L'École de Paris". Il fut également élu à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux en 1962.
Seuphor continua à travailler activement dans le monde de l'art jusqu'à sa mort en 1998 à l'âge de 92 ans. Il a laissé une grande héritage dans la critique d'art et l'histoire de l'art moderne et contemporain, qui continue à influencer les spécialistes aujourd'hui.
Né à Paris, Seuphor grandit dans une famille de la bourgeoisie intellectuelle, qui l'inspira à s'intéresser à l'art depuis sa jeunesse. Après des études secondaires à Orléans et au lycée Louis-le-Grand à Paris, il fréquenta les universités de Lyon et de Paris pour étudier la philosophie et la sociologie.
En 1928, Seuphor commença à travailler comme journaliste à "La Dépêche de Toulouse", où il écrivit sur la littérature, la musique et l'art. À partir de 1930, il se spécialisa dans le domaine de l'art contemporain et commença à collaborer avec des revues telles que "Cahiers d'Art" et "Les Cahiers du Sud".
En 1935, Seuphor publia son premier livre, "L'École de Paris", qui est considéré comme un classique sur l'histoire de l'art abstrait. Il reçut une grande attention pour cette étude approfondie des artistes qui travaillaient à Paris et contribuèrent au mouvement d'avant-garde, y compris les membres fondateurs du groupe Abstraction-Création.
En 1937, Seuphor participa à l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes à Paris, qui marqua une étape importante dans son développement professionnel. Il écrivit également pour la revue "Arts et Métiers Graphiques", qui était consacrée aux avancées technologiques dans le monde de l'art graphique.
Après l'Occupation allemande de la France, Seuphor continua à travailler comme critique d'art pour diverses publications et également comme professeur à l'École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. Il publia plusieurs autres livres sur les artistes du XXe siècle, notamment "Surréalisme" en 1947, "Les Peintres de la peur" en 1948 et "Le Cubisme" en 1962.
En 1953, Seuphor reçut le prix de la critique d'art pour son livre "L'École de Paris". Il fut également élu à l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux en 1962.
Seuphor continua à travailler activement dans le monde de l'art jusqu'à sa mort en 1998 à l'âge de 92 ans. Il a laissé une grande héritage dans la critique d'art et l'histoire de l'art moderne et contemporain, qui continue à influencer les spécialistes aujourd'hui.
