Michel Peyramaure est un astronome français né le 5 juin 1960 à Salles (Gironde). Il a obtenu son diplôme d'ingénieur en physique de l'École Nationale Supérieure des Sciences de l'Univers (ENSULyon) et sa licence en mathématiques de l'université Claude Bernard Lyon I.
En 1985, il rejoint le Centre National d'Études Spatiales (CNES) où il travaille sur la conception des instruments pour les missions spatiales françaises, notamment la mission Cassini-Huygens à Titan, une lune de Saturne. À partir de 1996, il est chef du bureau d'étude technique au CNES, responsable de la conception et du développement des instruments pour les missions spatiales françaises.
En 2014, Michel Peyramaure est nommé directeur général adjoint du Centre national d'études spatiales (CNES) par le président François Hollande. Au sein du CNES, il a participé à plusieurs projets majeurs, notamment l'observatoire spatial Herschel, la sonde spatiale Rosetta et la mission ExoMars.
En 2018, il est élu membre de l'Académie des sciences, la plus haute distinction scientifique en France. En 2019, il succède à Jean-Yves Le Gall en tant que président du CNES et reçoit la Légion d'honneur pour ses contributions exceptionnelles aux sciences spatiales françaises.
En 1985, il rejoint le Centre National d'Études Spatiales (CNES) où il travaille sur la conception des instruments pour les missions spatiales françaises, notamment la mission Cassini-Huygens à Titan, une lune de Saturne. À partir de 1996, il est chef du bureau d'étude technique au CNES, responsable de la conception et du développement des instruments pour les missions spatiales françaises.
En 2014, Michel Peyramaure est nommé directeur général adjoint du Centre national d'études spatiales (CNES) par le président François Hollande. Au sein du CNES, il a participé à plusieurs projets majeurs, notamment l'observatoire spatial Herschel, la sonde spatiale Rosetta et la mission ExoMars.
En 2018, il est élu membre de l'Académie des sciences, la plus haute distinction scientifique en France. En 2019, il succède à Jean-Yves Le Gall en tant que président du CNES et reçoit la Légion d'honneur pour ses contributions exceptionnelles aux sciences spatiales françaises.
