Maaya Angelou (April 4, 1928 - May 28, 2014) est une célèbre écrivaine, poète, actrice et chanteuse américaine. Née à St. Louis (Missouri), sa famille la transféra plus tard à Saint-Louis en Arkansas où elle grandit dans un environnement difficile.
Elle débute très jeune sur scène : elle joue à l'âge de 5 ans et devient plus tard une danseuse de cabaret, ce qui lui vaut le surnom de « Baby Sugar » à San Francisco. Mais sa vie change brusquement lorsqu'elle est violée à l'âge de 7 ans par un ami de la famille. Elle ne parle plus pendant presque 6 ans (elle déclare : « J'avais été abusée, et j'avais décidé que je ne parlerais plus à personne jusqu'à ce que mes souffrances cessent »).
Après sa guérison émotionnelle, elle continue à poursuivre une carrière dans les arts en se produisant notamment sur scène avec Paul Robeson. Elle rencontre également le leader de la Nation noire Malcolm X, qui devient un mentor pour elle.
En 1959, elle s'installe à Cairo et travaille comme correspondante pour le journal « The Arab Observer ». En 1960, elle rejoint la délégation américaine à l'ONU en tant qu'aide-soignante. Elle continue de voyager au Moyen-Orient pendant plusieurs années avant de rentrer aux États-Unis où elle devient actrice et chanteuse.
En 1969, elle publie son premier livre : « I Know Why the Caged Bird Sings », qui raconte sa jeunesse et ses expériences de discrimination raciale. Le livre est un énorme succès commercial et critique, ce qui la fait connaître du grand public. Elle enchaîne ensuite avec d'autres ouvrages autobiographiques : « Gather Together in My Name » (1974), « Singin’ and Swingin’ and Gettin’ Merry Like Christmas » (1976) et « The Heart of a Woman » (1981).
Elle écrit également des pièces de théâtre, des poèmes et des romans. Elle est l'auteur notamment de « Georgia, Georgia » qui deviendra un tube en 1970 grâce à la chanteuse Raquel Welch. Elle adapte aussi pour le cinéma le roman de Pearl S. Buck : « Le Père de la femme noire ».
Enfin, elle a également joué dans plusieurs films et séries télévisées, notamment dans la série télévisée « Roots » où elle incarne une esclave rebelle. Elle est ainsi un exemple de femme noire accomplie ayant su surmonter les obstacles pour atteindre sa réussite en tant qu'artiste et écrivaine.
Elle débute très jeune sur scène : elle joue à l'âge de 5 ans et devient plus tard une danseuse de cabaret, ce qui lui vaut le surnom de « Baby Sugar » à San Francisco. Mais sa vie change brusquement lorsqu'elle est violée à l'âge de 7 ans par un ami de la famille. Elle ne parle plus pendant presque 6 ans (elle déclare : « J'avais été abusée, et j'avais décidé que je ne parlerais plus à personne jusqu'à ce que mes souffrances cessent »).
Après sa guérison émotionnelle, elle continue à poursuivre une carrière dans les arts en se produisant notamment sur scène avec Paul Robeson. Elle rencontre également le leader de la Nation noire Malcolm X, qui devient un mentor pour elle.
En 1959, elle s'installe à Cairo et travaille comme correspondante pour le journal « The Arab Observer ». En 1960, elle rejoint la délégation américaine à l'ONU en tant qu'aide-soignante. Elle continue de voyager au Moyen-Orient pendant plusieurs années avant de rentrer aux États-Unis où elle devient actrice et chanteuse.
En 1969, elle publie son premier livre : « I Know Why the Caged Bird Sings », qui raconte sa jeunesse et ses expériences de discrimination raciale. Le livre est un énorme succès commercial et critique, ce qui la fait connaître du grand public. Elle enchaîne ensuite avec d'autres ouvrages autobiographiques : « Gather Together in My Name » (1974), « Singin’ and Swingin’ and Gettin’ Merry Like Christmas » (1976) et « The Heart of a Woman » (1981).
Elle écrit également des pièces de théâtre, des poèmes et des romans. Elle est l'auteur notamment de « Georgia, Georgia » qui deviendra un tube en 1970 grâce à la chanteuse Raquel Welch. Elle adapte aussi pour le cinéma le roman de Pearl S. Buck : « Le Père de la femme noire ».
Enfin, elle a également joué dans plusieurs films et séries télévisées, notamment dans la série télévisée « Roots » où elle incarne une esclave rebelle. Elle est ainsi un exemple de femme noire accomplie ayant su surmonter les obstacles pour atteindre sa réussite en tant qu'artiste et écrivaine.
