Marie Georges Picquart est une figure historique française connue pour sa contribution à l'affaire Dreyfus. Née le 29 septembre 1854 à Abbeville (Somme), elle est entrée dans l'armée en 1872 et a gravi les échelons en se distinguant par ses compétences et son intégrité.
En 1894, Picquart a été nommé chef de la section statistique de l'État-major général de l'Armée de terre. C'est à ce poste qu'il a découvert les irrégularités dans l'affaire du capitaine Alfred Dreyfus, accusé de trahison et condamné à l'exil sur l'île du Dévasté. Picquart a été le premier à remettre en cause la sincérité des preuves utilisées contre Dreyfus et à faire valoir que l'auteur réel de la trahison était un autre officier, major Ferdinand Walsin Esterhazy.
Picquart a été initialement méprisé pour ses conclusions et même injustement accusé de calomnie. Cependant, les investigations ultérieures ont confirmé son analyse et Dreyfus a finalement été réhabilité en 1906. Picquart a continué à défendre la cause de Dreyfus jusqu'à sa mort, survenue le 8 mars 1914.
Picquart est considéré comme un héros de la justice et une figure emblématique de la lutte contre l'antisémitisme en France. Sa carrière militaire a été marquée par son engagement pour l'égalité des droits et ses principes moraux, ce qui lui a valu le respect et l'admiration de ses pairs et d'une large partie de la population française.
En 1894, Picquart a été nommé chef de la section statistique de l'État-major général de l'Armée de terre. C'est à ce poste qu'il a découvert les irrégularités dans l'affaire du capitaine Alfred Dreyfus, accusé de trahison et condamné à l'exil sur l'île du Dévasté. Picquart a été le premier à remettre en cause la sincérité des preuves utilisées contre Dreyfus et à faire valoir que l'auteur réel de la trahison était un autre officier, major Ferdinand Walsin Esterhazy.
Picquart a été initialement méprisé pour ses conclusions et même injustement accusé de calomnie. Cependant, les investigations ultérieures ont confirmé son analyse et Dreyfus a finalement été réhabilité en 1906. Picquart a continué à défendre la cause de Dreyfus jusqu'à sa mort, survenue le 8 mars 1914.
Picquart est considéré comme un héros de la justice et une figure emblématique de la lutte contre l'antisémitisme en France. Sa carrière militaire a été marquée par son engagement pour l'égalité des droits et ses principes moraux, ce qui lui a valu le respect et l'admiration de ses pairs et d'une large partie de la population française.
