Marc Lépine (20 janvier 1967 - 6 décembre 1989) est une figure controversée de l'histoire du Québec et du Canada. Né à Montréal, il a grandi dans un milieu familial marqué par la religion catholique et les idées politiques nationalistes québécoises.
Marc Lépine s'est engagé dans plusieurs organisations politiques nationalistes au cours de son adolescence et adulte, notamment au sein du Front de libération du Québec (FLQ), avant de se retirer pour se concentrer sur ses études universitaires en ingénierie électrique.
Le 6 décembre 1989, Marc Lépine a perpétré un massacre au collège Édouard-Montpetit à Montréal, dans lequel il a abattu huit femmes et mortellement blessé quatre autres, avant de se suicider. Le massacre était ciblé contre les femmes en raison de sa haine envers elles, qu'il considérait comme une menace pour la société québécoise et canadienne.
Le massacre de Marc Lépine est devenu un point de détonation pour l'engagement public sur le féminisme et les questions liées aux femmes, ainsi que pour une réflexion profonde sur le sexisme, la violence et l'intolérance au sein de la société.
Ce massacre a également conduit à des mesures de sécurité renforcées dans les établissements d'enseignement supérieur et à la création du journée national de commémoration des femmes victimes de violence féminicide, qui est célébrée chaque année le 6 décembre.
Marc Lépine s'est engagé dans plusieurs organisations politiques nationalistes au cours de son adolescence et adulte, notamment au sein du Front de libération du Québec (FLQ), avant de se retirer pour se concentrer sur ses études universitaires en ingénierie électrique.
Le 6 décembre 1989, Marc Lépine a perpétré un massacre au collège Édouard-Montpetit à Montréal, dans lequel il a abattu huit femmes et mortellement blessé quatre autres, avant de se suicider. Le massacre était ciblé contre les femmes en raison de sa haine envers elles, qu'il considérait comme une menace pour la société québécoise et canadienne.
Le massacre de Marc Lépine est devenu un point de détonation pour l'engagement public sur le féminisme et les questions liées aux femmes, ainsi que pour une réflexion profonde sur le sexisme, la violence et l'intolérance au sein de la société.
Ce massacre a également conduit à des mesures de sécurité renforcées dans les établissements d'enseignement supérieur et à la création du journée national de commémoration des femmes victimes de violence féminicide, qui est célébrée chaque année le 6 décembre.
