Jean-Charles Marat, né le 24 novembre 1743 à Bolonge-sur-Aujon (aujourd'hui Bourgogne-Franche-Comté) et mort le 13 juillet 1794 à Paris, est une figure historique française. Célèbre médecin et révolutionnaire, il fut l'un des leaders les plus importants de la Révolution française.
Il fit ses études à l'Université d'Étretat avant de suivre des cours de chirurgie auprès de François Quesnay. Il s'installa ensuite à Paris où il pratiqua le métier de médecin. Ses idées républicaines et ses actions en faveur de la Révolution lui valurent l'hostilité des aristocrates, qui ne tardèrent pas à l'exiler.
En 1792, il fut élu député du Tiers-État aux États généraux, puis à l'Assemblée nationale législative en septembre de la même année. Il s'y fit remarquer par ses discours ardents en faveur des droits de l'homme et de la citoyenneté.
En juin 1793, il devint commissaire du peuple à l'armée du Nord. Il se battit courageusement aux côtés des soldats républicains pour défendre Paris contre les envahisseurs étrangers. Son leadership et sa détermination lui valurent le surnom de « Marat le Terrible ».
Le 13 juillet 1794, alors qu'il travaillait dans son bureau à la librairie du couvent des Jacobins, il fut attaqué par Charlotte Corday. Cette dernière se vengeait d'avoir été condamnée par Marat pour avoir été une des rares femmes aristocrates ayant pris part aux émeutes contre la Révolution. Alors qu'il avait déjà survécu à plusieurs tentatives d'assassinats, Charlotte Corday le tua en l'poignardant à plusieurs reprises au cou.
Jean-Charles Marat reste une figure emblématique de la Révolution française et un symbole de la lutte pour les droits humains. Son combat pour la liberté, la démocratie et le progrès est toujours d'actualité aujourd'hui.
Il fit ses études à l'Université d'Étretat avant de suivre des cours de chirurgie auprès de François Quesnay. Il s'installa ensuite à Paris où il pratiqua le métier de médecin. Ses idées républicaines et ses actions en faveur de la Révolution lui valurent l'hostilité des aristocrates, qui ne tardèrent pas à l'exiler.
En 1792, il fut élu député du Tiers-État aux États généraux, puis à l'Assemblée nationale législative en septembre de la même année. Il s'y fit remarquer par ses discours ardents en faveur des droits de l'homme et de la citoyenneté.
En juin 1793, il devint commissaire du peuple à l'armée du Nord. Il se battit courageusement aux côtés des soldats républicains pour défendre Paris contre les envahisseurs étrangers. Son leadership et sa détermination lui valurent le surnom de « Marat le Terrible ».
Le 13 juillet 1794, alors qu'il travaillait dans son bureau à la librairie du couvent des Jacobins, il fut attaqué par Charlotte Corday. Cette dernière se vengeait d'avoir été condamnée par Marat pour avoir été une des rares femmes aristocrates ayant pris part aux émeutes contre la Révolution. Alors qu'il avait déjà survécu à plusieurs tentatives d'assassinats, Charlotte Corday le tua en l'poignardant à plusieurs reprises au cou.
Jean-Charles Marat reste une figure emblématique de la Révolution française et un symbole de la lutte pour les droits humains. Son combat pour la liberté, la démocratie et le progrès est toujours d'actualité aujourd'hui.
