Vueillot a passé une grande partie de sa vie à lutter contre les idées libérales et républicaines qui prévalaient à son époque, en particulier celles de l'écrivain Victor Hugo. Il était considéré comme un des principaux représentants du catholicisme politique français du XIXe siècle.
Il a commencé sa carrière littéraire en publiant plusieurs livres de poésie et en exerçant la profession de journaliste. Son journal, "Le Moniteur universel", est devenu un des principaux organes du mouvement catholique conservateur français. Il a également fondé et écrit pour d'autres journaux, notamment "La Semaine religieuse" et "L'Action catholique".
Vueillot a également été professeur de rhétorique et d'histoire à l'université de Reims et a occupé divers postes publics, notamment à la Cour des comptes.
Ses écrits ont été critiqués par les opposants pour leur extrême conservatisme et leur opposition à la démocratie et aux idées libérales. Cependant, il est considéré comme un écrivain de talent et son influence a été importante dans le mouvement catholique français du XIXe siècle.
Vueillot a également joué un rôle important dans la défense de la religion catholique contre l'anticléricalisme, en particulier pendant la guerre franco-prussienne de 1870 et la Commune de Paris, où il s'est opposé à la montée du socialisme militant.
Enfin, Louis Vueillot est mort le 14 juillet 1869 à l'âge de 55 ans et a été enterré au cimetière de Montmartre à Paris. Il reste une figure importante de l'histoire française du XIXe siècle pour ses contributions littéraires et politiques en défense de la religion catholique conservatrice.