Louis Darquier de Pellepoix (28 janvier 1894 – 27 février 1980) était un fonctionnaire français connu pour son rôle dans la Shoah. Né à La Teste-de-Buch, en Gironde, il est diplômé de l'École nationale des chartes et commence sa carrière dans les services de l'État français en 1920.
En 1942, Hitler nomme Darquier de Pellepoix haut-commissaire de la République de France aux affaires juives. Il occupe ce poste jusqu'en août 1944. Son mandat est marqué par une intensification des persécutions antijuives en France. Il supervise l'expulsion des Juifs vers le camp de Drancy et leur déportation vers les camps d'extermination nazis.
Après la Libération, Darquier de Pellepoix s'enfuit en Espagne, où il est arrêté par les Allemands en 1945. Il est libéré en 1946 et vit à Buenos Aires pendant plusieurs années avant d'être extradé en France. En 1952, il est condamné pour crimes de guerre et déportation illégale des Juifs, mais il est gracié peu après par Vincent Auriol, président de la République française.
Louis Darquier de Pellepoix meurt en 1980 à Paris. Sa vie et son travail sont considérés comme une triste page de l'histoire française des temps de guerre.
En 1942, Hitler nomme Darquier de Pellepoix haut-commissaire de la République de France aux affaires juives. Il occupe ce poste jusqu'en août 1944. Son mandat est marqué par une intensification des persécutions antijuives en France. Il supervise l'expulsion des Juifs vers le camp de Drancy et leur déportation vers les camps d'extermination nazis.
Après la Libération, Darquier de Pellepoix s'enfuit en Espagne, où il est arrêté par les Allemands en 1945. Il est libéré en 1946 et vit à Buenos Aires pendant plusieurs années avant d'être extradé en France. En 1952, il est condamné pour crimes de guerre et déportation illégale des Juifs, mais il est gracié peu après par Vincent Auriol, président de la République française.
Louis Darquier de Pellepoix meurt en 1980 à Paris. Sa vie et son travail sont considérés comme une triste page de l'histoire française des temps de guerre.
