Louis Charles Emmanuel de Coëtlogon est né le 21 décembre 1759 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et décédé le 6 août 1840 à Rennes. Il est un militaire, homme politique et écrivain français du XVIIIe siècle.
Après avoir fait des études au collège de Rennes, il entre dans l'armée en tant qu'officier d'artillerie. Il participe à la guerre d'indépendance américaine, où il sert comme aide de camp du général Rochambeau.
De retour en France après le traité de Paris (1783), il se lance dans une carrière politique. Il est élu député des Côtes-du-Nord à l'Assemblée nationale législative en 1791 et siège dans la majorité révolutionnaire, notamment à la Commission militaire de cette assemblée.
En 1792, il est nommé gouverneur d'Avignon, puis de Montauban l'année suivante. Il est ensuite nommé général de brigade et commandant de la place de Brest en 1794.
Pendant la Terreur, il est arrêté pour suspicion de fédéralisme et incarcéré pendant plusieurs mois, mais il sera finalement acquitté et réintégré dans l'armée. Il se retire définitivement de la vie militaire en 1796.
Il s'installe alors à Rennes, où il se consacre à l'écriture. Il est l'auteur de nombreux ouvrages historiques et littéraires sur l'histoire de Bretagne, notamment « Mémoires sur l'état ancien et actuel des Côtes-du-Nord » et « Histoire de la Bretagne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours ».
Il meurt à Rennes le 6 août 1840, à l'âge de 80 ans. Il est inhumé au cimetière Saint-Sulpice à Rennes.
Après avoir fait des études au collège de Rennes, il entre dans l'armée en tant qu'officier d'artillerie. Il participe à la guerre d'indépendance américaine, où il sert comme aide de camp du général Rochambeau.
De retour en France après le traité de Paris (1783), il se lance dans une carrière politique. Il est élu député des Côtes-du-Nord à l'Assemblée nationale législative en 1791 et siège dans la majorité révolutionnaire, notamment à la Commission militaire de cette assemblée.
En 1792, il est nommé gouverneur d'Avignon, puis de Montauban l'année suivante. Il est ensuite nommé général de brigade et commandant de la place de Brest en 1794.
Pendant la Terreur, il est arrêté pour suspicion de fédéralisme et incarcéré pendant plusieurs mois, mais il sera finalement acquitté et réintégré dans l'armée. Il se retire définitivement de la vie militaire en 1796.
Il s'installe alors à Rennes, où il se consacre à l'écriture. Il est l'auteur de nombreux ouvrages historiques et littéraires sur l'histoire de Bretagne, notamment « Mémoires sur l'état ancien et actuel des Côtes-du-Nord » et « Histoire de la Bretagne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours ».
Il meurt à Rennes le 6 août 1840, à l'âge de 80 ans. Il est inhumé au cimetière Saint-Sulpice à Rennes.
