Louis Alexandre Foucher de Careil est un historien et homme politique français né le 28 août 1759 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) et mort le 16 février 1834 au château de Kérouzio, à Plélan-le-Petit (Côtes-d'Armor).
Il est connu pour être l'auteur de "Mémoires sur la Révolution française", un ouvrage historique publié en 1829. Dans ses mémoires, il décrit sa participation à la Révolution française et à la guerre de Vendée (1793-1796).
En tant qu'homme politique, Foucher de Careil a occupé plusieurs postes importants. Il fut député du clergé aux États généraux de 1789, puis s'engagea dans l'armée royale comme capitaine d'infanterie lors de la guerre de la Première Coalition. Après la chute de la monarchie, il rejoignit les rangs des Jacobins et occupa divers postes au sein du gouvernement révolutionnaire, notamment celui de maire de Rennes en 1792 et de préfet du Morbihan en 1793.
En 1794, Foucher de Careil fut accusé d'avoir détourné des fonds publics et condamné à la déportation. Il échappa à cette peine grâce à l'intervention de Maximilien de Robespierre et fut finalement réhabilité en 1798. Il retourna alors dans sa région natale, où il continua à se consacrer à ses activités d'historien.
Son ouvrage "Mémoires sur la Révolution française" reste un témoin important de la période révolutionnaire et est considéré comme l'un des plus fiables témoignages de cette époque troublée. Foucher de Careil reste une figure importante de la mémoire historique bretonne.
Il est connu pour être l'auteur de "Mémoires sur la Révolution française", un ouvrage historique publié en 1829. Dans ses mémoires, il décrit sa participation à la Révolution française et à la guerre de Vendée (1793-1796).
En tant qu'homme politique, Foucher de Careil a occupé plusieurs postes importants. Il fut député du clergé aux États généraux de 1789, puis s'engagea dans l'armée royale comme capitaine d'infanterie lors de la guerre de la Première Coalition. Après la chute de la monarchie, il rejoignit les rangs des Jacobins et occupa divers postes au sein du gouvernement révolutionnaire, notamment celui de maire de Rennes en 1792 et de préfet du Morbihan en 1793.
En 1794, Foucher de Careil fut accusé d'avoir détourné des fonds publics et condamné à la déportation. Il échappa à cette peine grâce à l'intervention de Maximilien de Robespierre et fut finalement réhabilité en 1798. Il retourna alors dans sa région natale, où il continua à se consacrer à ses activités d'historien.
Son ouvrage "Mémoires sur la Révolution française" reste un témoin important de la période révolutionnaire et est considéré comme l'un des plus fiables témoignages de cette époque troublée. Foucher de Careil reste une figure importante de la mémoire historique bretonne.
