Leon Parisot (1870-1947) était un entrepreneur et un syndicaliste français, considéré comme l'un des principaux acteurs du mouvement ouvrier français à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Né le 25 octobre 1870 à Saint-Étienne, il grandit dans une famille modeste de mineurs. À l'âge de seize ans, il trouve un emploi dans une usine de tissus de coton, où il connaît la pénibilité du travail des ouvriers. Cela le pousse à s'engager dans les luttes syndicales pour améliorer les conditions de vie et de travail des mineurs.
En 1892, Parisot est élu secrétaire général de la Fédération du textile de Saint-Étienne, puis en 1895, il devient le premier secrétaire national de la Fédération générale du travail (CGT). Son style personnel et sa façon de faire ont permis à la CGT d'élargir son influence parmi les travailleurs.
Pendant la Première Guerre mondiale, Parisot est un opposant actif au gouvernement, pour lequel il considère qu'il a échoué dans la défense des intérêts sociaux de l'ouvrier français. Il demande également que les femmes soient recrutées dans les industries essentielles afin de compenser le manque de main-d'œuvre masculine causé par le conflit.
Après la guerre, il est élu au Conseil national et devient un partisan actif du Parti communiste français. En 1920, il est élu membre du Comité central du PC France. Il continue également à jouer un rôle important dans le mouvement ouvrier en tant que président de la CGT de 1922 à 1936.
Au lendemain de la guerre civile espagnole, Parisot est nommé président du Conseil national économique par le gouvernement populaire français dirigé par Léon Blum. Il conserve ce poste jusqu'en 1942 et travaille pour améliorer les conditions de vie des ouvriers français et pour promouvoir l'expansion industrielle de la France.
Parisot est décédé le 30 octobre 1947 à Paris, à l'âge de 77 ans. Il est considéré comme un héroïque figure du mouvement ouvrier français et son nom reste associé à la lutte pour les droits sociaux et économiques des travailleurs.
Né le 25 octobre 1870 à Saint-Étienne, il grandit dans une famille modeste de mineurs. À l'âge de seize ans, il trouve un emploi dans une usine de tissus de coton, où il connaît la pénibilité du travail des ouvriers. Cela le pousse à s'engager dans les luttes syndicales pour améliorer les conditions de vie et de travail des mineurs.
En 1892, Parisot est élu secrétaire général de la Fédération du textile de Saint-Étienne, puis en 1895, il devient le premier secrétaire national de la Fédération générale du travail (CGT). Son style personnel et sa façon de faire ont permis à la CGT d'élargir son influence parmi les travailleurs.
Pendant la Première Guerre mondiale, Parisot est un opposant actif au gouvernement, pour lequel il considère qu'il a échoué dans la défense des intérêts sociaux de l'ouvrier français. Il demande également que les femmes soient recrutées dans les industries essentielles afin de compenser le manque de main-d'œuvre masculine causé par le conflit.
Après la guerre, il est élu au Conseil national et devient un partisan actif du Parti communiste français. En 1920, il est élu membre du Comité central du PC France. Il continue également à jouer un rôle important dans le mouvement ouvrier en tant que président de la CGT de 1922 à 1936.
Au lendemain de la guerre civile espagnole, Parisot est nommé président du Conseil national économique par le gouvernement populaire français dirigé par Léon Blum. Il conserve ce poste jusqu'en 1942 et travaille pour améliorer les conditions de vie des ouvriers français et pour promouvoir l'expansion industrielle de la France.
Parisot est décédé le 30 octobre 1947 à Paris, à l'âge de 77 ans. Il est considéré comme un héroïque figure du mouvement ouvrier français et son nom reste associé à la lutte pour les droits sociaux et économiques des travailleurs.
