Leon Achille Martinez, né le 9 octobre 1873 à Paris et décédé le 4 janvier 1952 à Saint-Mandé (Seine), est un journaliste et homme politique français.
Après des études au lycée Condorcet, il obtient son baccalauréat à l'âge de quatorze ans. En 1891, il devient rédacteur en chef du quotidien *L'Éclair*, puis collabore à plusieurs autres journaux. Il est également l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages populaires et de romans, notamment *La Vie errante* (1895) et *Le Roman de la famille Chabry* (1903).
En 1902, il entre à la Chambre des députés en représentant la Seine. Il s'affirme comme un ardent défenseur du protectionnisme économique et de la politique coloniale française. En 1914, il est nommé ministre des Colonies dans le gouvernement Briand-Painlevé.
Leon Achille Martinez se distingue également par son action en faveur des arts et de la culture, étant notamment l'un des principaux promoteurs de la création du Musée national d'art moderne, qu'il inaugure en 1937.
Durant la Seconde Guerre mondiale, il collabore avec les Allemands et est arrêté après la Libération. Il meurt en prison à Saint-Mandé, peu de temps après son inculpation pour collaboration avec l'ennemi.
Après des études au lycée Condorcet, il obtient son baccalauréat à l'âge de quatorze ans. En 1891, il devient rédacteur en chef du quotidien *L'Éclair*, puis collabore à plusieurs autres journaux. Il est également l'auteur d'un grand nombre d'ouvrages populaires et de romans, notamment *La Vie errante* (1895) et *Le Roman de la famille Chabry* (1903).
En 1902, il entre à la Chambre des députés en représentant la Seine. Il s'affirme comme un ardent défenseur du protectionnisme économique et de la politique coloniale française. En 1914, il est nommé ministre des Colonies dans le gouvernement Briand-Painlevé.
Leon Achille Martinez se distingue également par son action en faveur des arts et de la culture, étant notamment l'un des principaux promoteurs de la création du Musée national d'art moderne, qu'il inaugure en 1937.
Durant la Seconde Guerre mondiale, il collabore avec les Allemands et est arrêté après la Libération. Il meurt en prison à Saint-Mandé, peu de temps après son inculpation pour collaboration avec l'ennemi.
