La célèbre personnalité Léonie Marié Ludovic-Rojer, mieux connue sous le nom de Léonie Marié Jean-Louis, est née le 29 avril 1867 à Sainte-Suzanne dans le département français de la Martinique. Elle a été une écrivaine, poétesse et militante des droits des femmes.
Après avoir obtenu un diplôme d'enseignante en France, Léonie Marié Jean-Louis est retournée à la Martinique pour y travailler. Cependant, son engagement féministe l'a conduite à s'engager dans le militantisme en faveur des droits des femmes et à écrire sur ce sujet. En 1892, elle a fondé un journal féministe, "La Frondeuse", qui a été publié jusqu'en 1897.
Léonie Marié Jean-Louis est aussi connue pour son implication dans le mouvement antiesclavagiste et l'abolition de la traite des esclaves en Martinique. Elle s'est engagée à révéler les conditions dures que subissaient les travailleurs agricoles contractuels dans les grandes plantations de sucre de la Martinique, et a appelé à un boycott des produits martiniquais jusqu'à ce qu'une amélioration soit apportée.
En 1904, elle est devenue la première femme enregistrée comme citoyenne française dans la commune de Sainte-Suzanne et a continué à écrire et à militer pour les droits des femmes jusqu'à sa mort le 3 juillet 1929.
Au cours de sa carrière, Léonie Marié Jean-Louis a publié plusieurs livres, dont "Les Martigalades" (1887), "Le Rêve d'une nuit d'été" (1893) et "Paulette" (1895). Elle est considérée comme une icône du féminisme dans la Martinique et a influencé plusieurs générations de femmes qui se sont engagées pour les droits des femmes et l'amélioration des conditions de vie des femmes en Martinique.
Après avoir obtenu un diplôme d'enseignante en France, Léonie Marié Jean-Louis est retournée à la Martinique pour y travailler. Cependant, son engagement féministe l'a conduite à s'engager dans le militantisme en faveur des droits des femmes et à écrire sur ce sujet. En 1892, elle a fondé un journal féministe, "La Frondeuse", qui a été publié jusqu'en 1897.
Léonie Marié Jean-Louis est aussi connue pour son implication dans le mouvement antiesclavagiste et l'abolition de la traite des esclaves en Martinique. Elle s'est engagée à révéler les conditions dures que subissaient les travailleurs agricoles contractuels dans les grandes plantations de sucre de la Martinique, et a appelé à un boycott des produits martiniquais jusqu'à ce qu'une amélioration soit apportée.
En 1904, elle est devenue la première femme enregistrée comme citoyenne française dans la commune de Sainte-Suzanne et a continué à écrire et à militer pour les droits des femmes jusqu'à sa mort le 3 juillet 1929.
Au cours de sa carrière, Léonie Marié Jean-Louis a publié plusieurs livres, dont "Les Martigalades" (1887), "Le Rêve d'une nuit d'été" (1893) et "Paulette" (1895). Elle est considérée comme une icône du féminisme dans la Martinique et a influencé plusieurs générations de femmes qui se sont engagées pour les droits des femmes et l'amélioration des conditions de vie des femmes en Martinique.
