La biographie suivante présente les faits historiques connus sur Leïla Ben Ali, née le 4 août 1967 à Tunis (Tunisie).
Leïla Ben Ali est une femme politique tunisienne. Elle était la Première Dame de la République tunisienne depuis le 24 décembre 1987, jour du mariage de son époux, Zine el-Abidine Ben Ali, alors président en exercice de cette république, jusqu'au 14 janvier 2011.
Née à Tunis, Leïla Ben Ali a grandi dans une famille aisée. Elle étudia le droit à la faculté de droit de l'université de Tunis et fut élue présidente de cette université. En 1987, elle épousa Zine el-Abidine Ben Ali.
En tant que Première Dame, Leïla Ben Ali exerça des fonctions officielles et participait à de nombreuses manifestations publiques en Tunisie et à l'étranger. Elle a été active dans diverses organisations caritatives, notamment dans le domaine de l'éducation et du bien-être des femmes.
Après la chute de son mari de la présidence tunisienne lors de la Révolution tunisienne de 2010-2011, elle et sa famille furent contraints à l'exil en Saudi Arabia. En 2014, elle fut condamnée à un an de prison pour corruption par une cour tunisienne.
Leïla Ben Ali est une femme politique tunisienne. Elle était la Première Dame de la République tunisienne depuis le 24 décembre 1987, jour du mariage de son époux, Zine el-Abidine Ben Ali, alors président en exercice de cette république, jusqu'au 14 janvier 2011.
Née à Tunis, Leïla Ben Ali a grandi dans une famille aisée. Elle étudia le droit à la faculté de droit de l'université de Tunis et fut élue présidente de cette université. En 1987, elle épousa Zine el-Abidine Ben Ali.
En tant que Première Dame, Leïla Ben Ali exerça des fonctions officielles et participait à de nombreuses manifestations publiques en Tunisie et à l'étranger. Elle a été active dans diverses organisations caritatives, notamment dans le domaine de l'éducation et du bien-être des femmes.
Après la chute de son mari de la présidence tunisienne lors de la Révolution tunisienne de 2010-2011, elle et sa famille furent contraints à l'exil en Saudi Arabia. En 2014, elle fut condamnée à un an de prison pour corruption par une cour tunisienne.
