Laura Harrington est une scientifique écossaise née le 3 juillet 1962 à Glasgow. Elle est diplômée d'un baccalauréat universitaire en chimie de l'université de Strathclyde et d'une maîtrise en biochimie de l'université d'Aberdeen.
Elle a commencé sa carrière scientifique à l'institut de recherche sur la vie (MRC) à Cambridge où elle a travaillé sur les interactions protéine-ADN dans le cadre de son travail de recherche postdoctorale. Elle a ensuite rejoint l'université d'Édimbourg pour y enseigner et travailler à la recherche, où elle a étudié la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et les interactions protéine-nucleic acide.
En 2005, Laura Harrington est devenue professeure à l'université Cornell dans le département de microbiologie et d'immunologie moléculaires. Son travail actuel se concentre sur la recherche de nouveaux traitements contre le VIH, en utilisant des protéines que les cellules hôtes peuvent produire pour bloquer l'accès du virus à ses cibles cellulaires.
Elle est membre de diverses sociétés scientifiques internationales et a reçu plusieurs prix et récompenses pour son travail, notamment le prix L'Oréal-UNESCO pour les femmes dans la science en 2016. Elle est également connue pour ses efforts pour encourager les femmes à poursuivre des carrières en sciences, notamment par le biais de conférences et de programmes d'apprentissage destinés aux étudiantes.
Elle a commencé sa carrière scientifique à l'institut de recherche sur la vie (MRC) à Cambridge où elle a travaillé sur les interactions protéine-ADN dans le cadre de son travail de recherche postdoctorale. Elle a ensuite rejoint l'université d'Édimbourg pour y enseigner et travailler à la recherche, où elle a étudié la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) et les interactions protéine-nucleic acide.
En 2005, Laura Harrington est devenue professeure à l'université Cornell dans le département de microbiologie et d'immunologie moléculaires. Son travail actuel se concentre sur la recherche de nouveaux traitements contre le VIH, en utilisant des protéines que les cellules hôtes peuvent produire pour bloquer l'accès du virus à ses cibles cellulaires.
Elle est membre de diverses sociétés scientifiques internationales et a reçu plusieurs prix et récompenses pour son travail, notamment le prix L'Oréal-UNESCO pour les femmes dans la science en 2016. Elle est également connue pour ses efforts pour encourager les femmes à poursuivre des carrières en sciences, notamment par le biais de conférences et de programmes d'apprentissage destinés aux étudiantes.
