Laurel Cairns est une réalisatrice et scénariste canadienne née le 29 décembre 1985 à Toronto. Elle a grandi dans une famille d'artistes et s'est intéressée très tôt au cinéma, notamment grâce à son père, qui travaillait dans l'industrie du divertissement.
Après des études en communication à l'Université Carleton à Ottawa, Laurel a rejoint le National Screen Institute (NSI) pour suivre un programme de scénarisation. En 2011, elle obtient une bourse du gouvernement canadien pour produire son premier court métrage, "The End of Something," qui est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et reçoit des prix et des reconnaissances.
En 2013, Laurel réalise son deuxième court métrage, "Cœur de Vie", produit par le NSI et diffusé sur CBC. Le film raconte l'histoire d'une adolescente trans qui découvre que la chirurgie de réattribution sexuelle est un choix qui peut changer sa vie. Ce court métrage reçoit de nombreuses critiques positives et permet à Laurel d'être reconnu comme une voix importante dans le cinéma indépendant canadien.
En 2017, elle réalise son premier long-métrage, "Everything I Leave Behind," qui raconte l'histoire d'une famille qui se réunit pour la dernière fois avant que leur maison ne soit détruite par un incendie. Ce film est diffusé à la télévision et reçoit des prix et des critiques positives.
En 2019, Laurel réalise un documentaire intitulé "Beyond the Visible: Hilma af Klint," qui raconte l'histoire de la peintre suédoise Hilma af Klint, une artiste oubliée qui a créé des peintures spirituelles avant que l'avant-garde européenne ne soit connue. Ce documentaire reçoit des critiques positives et est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux.
En 2021, Laurel réalise un deuxième long-métrage intitulé "Invisible," qui raconte l'histoire d'une jeune femme aveugle qui découvre qu'elle peut voir les ombres des gens qui la touchent. Ce film est diffusé à la télévision et reçoit des prix et des critiques positives.
Au-delà de ses réalisations cinématographiques, Laurel est également connue pour son engagement en faveur des femmes et du genre non binaire dans l'industrie du divertissement. Elle a été une partisane active des initiatives visant à augmenter la représentation de ces groupes dans les médias canadiens et a donné plusieurs conférences sur ce sujet.
Après des études en communication à l'Université Carleton à Ottawa, Laurel a rejoint le National Screen Institute (NSI) pour suivre un programme de scénarisation. En 2011, elle obtient une bourse du gouvernement canadien pour produire son premier court métrage, "The End of Something," qui est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux et reçoit des prix et des reconnaissances.
En 2013, Laurel réalise son deuxième court métrage, "Cœur de Vie", produit par le NSI et diffusé sur CBC. Le film raconte l'histoire d'une adolescente trans qui découvre que la chirurgie de réattribution sexuelle est un choix qui peut changer sa vie. Ce court métrage reçoit de nombreuses critiques positives et permet à Laurel d'être reconnu comme une voix importante dans le cinéma indépendant canadien.
En 2017, elle réalise son premier long-métrage, "Everything I Leave Behind," qui raconte l'histoire d'une famille qui se réunit pour la dernière fois avant que leur maison ne soit détruite par un incendie. Ce film est diffusé à la télévision et reçoit des prix et des critiques positives.
En 2019, Laurel réalise un documentaire intitulé "Beyond the Visible: Hilma af Klint," qui raconte l'histoire de la peintre suédoise Hilma af Klint, une artiste oubliée qui a créé des peintures spirituelles avant que l'avant-garde européenne ne soit connue. Ce documentaire reçoit des critiques positives et est sélectionné dans plusieurs festivals internationaux.
En 2021, Laurel réalise un deuxième long-métrage intitulé "Invisible," qui raconte l'histoire d'une jeune femme aveugle qui découvre qu'elle peut voir les ombres des gens qui la touchent. Ce film est diffusé à la télévision et reçoit des prix et des critiques positives.
Au-delà de ses réalisations cinématographiques, Laurel est également connue pour son engagement en faveur des femmes et du genre non binaire dans l'industrie du divertissement. Elle a été une partisane active des initiatives visant à augmenter la représentation de ces groupes dans les médias canadiens et a donné plusieurs conférences sur ce sujet.
