Laura Archbold est une biologiste marine australienne née le 20 juillet 1983 à Adélaïde (Australie). Elle est connue pour son travail dans l'étude des coraux et des espèces de poissons tropicales en mer Rouge.
Laura a obtenu un Bachelor of Science en biologie marine et un Master of Science en biologie marine à l'université James Cook, en Australie. Elle est ensuite partie travailler dans les eaux de la mer Rouge au sein d'un groupe de recherche de conservation marine.
En 2013, Laura a été nommée parmi les 50 femmes les plus influentes dans le domaine de la conservation marine par National Geographic. Elle est également l'une des principales personnes à enquêter sur les effets du choc de corail bleu sur les populations de poissons et d'autres espèces marines dans les récifs coralliens, ainsi que sur les moyens de les aider à s'adapter à ce changement climatique.
En 2019, elle est devenue la directrice du National Coral Bleaching Task Force, chargée d'évaluer et de recommander des mesures pour lutter contre le choc de corail bleu dans le monde entier. Elle continue à travailler pour protéger les récifs coralliens et les espèces marines en mer Rouge.
Laura a obtenu un Bachelor of Science en biologie marine et un Master of Science en biologie marine à l'université James Cook, en Australie. Elle est ensuite partie travailler dans les eaux de la mer Rouge au sein d'un groupe de recherche de conservation marine.
En 2013, Laura a été nommée parmi les 50 femmes les plus influentes dans le domaine de la conservation marine par National Geographic. Elle est également l'une des principales personnes à enquêter sur les effets du choc de corail bleu sur les populations de poissons et d'autres espèces marines dans les récifs coralliens, ainsi que sur les moyens de les aider à s'adapter à ce changement climatique.
En 2019, elle est devenue la directrice du National Coral Bleaching Task Force, chargée d'évaluer et de recommander des mesures pour lutter contre le choc de corail bleu dans le monde entier. Elle continue à travailler pour protéger les récifs coralliens et les espèces marines en mer Rouge.
