Larbi Ben M'Hidi (né le 29 septembre 1916 à Tizi Ouzou et décédé le 31 janvier 1957 à Alger) est un militant nationaliste algérien et héroïque chef de la Révolution algérienne.
Il rejoint très jeune les rangs du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), puis adhère au Front de libération nationale (FLN) en 1954 et participe à l'organisation du premier soulèvement armé contre la France coloniale.
Au sein du FLN, il occupe rapidement des responsabilités importantes : il devient chef militaire de la wilaya III (Kabylie) en 1956 et est l'un des signataires du manifeste de la souveraineté algérienne du 3 novembre 1954.
En tant que commandant militaire, Larbi Ben M'Hidi organise une résistance efficace contre les forces françaises dans les montagnes de Kabylie. Sa réputation grandit et il est connu comme l'un des plus redoutables ennemis du colonialisme français en Algérie.
En 1957, après plusieurs mois de négociations avec le gouvernement français pour une sortie pacifique de la guerre d'Algérie, Larbi Ben M'Hidi est arrêté et emmené à Paris, où il sera finalement condamné à mort et exécuté par les autorités françaises.
Après son martyre, Larbi Ben M'Hidi devient un symbole de la résistance algérienne et un héros national pour l'ensemble du peuple algérien. Sa mémoire est perpétuée dans de nombreux monuments et commémorations en Algérie et dans le monde entier, où il reste un modèle d'un patriote dévoué à la cause de la liberté et de l'indépendance algérienne.
Il rejoint très jeune les rangs du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD), puis adhère au Front de libération nationale (FLN) en 1954 et participe à l'organisation du premier soulèvement armé contre la France coloniale.
Au sein du FLN, il occupe rapidement des responsabilités importantes : il devient chef militaire de la wilaya III (Kabylie) en 1956 et est l'un des signataires du manifeste de la souveraineté algérienne du 3 novembre 1954.
En tant que commandant militaire, Larbi Ben M'Hidi organise une résistance efficace contre les forces françaises dans les montagnes de Kabylie. Sa réputation grandit et il est connu comme l'un des plus redoutables ennemis du colonialisme français en Algérie.
En 1957, après plusieurs mois de négociations avec le gouvernement français pour une sortie pacifique de la guerre d'Algérie, Larbi Ben M'Hidi est arrêté et emmené à Paris, où il sera finalement condamné à mort et exécuté par les autorités françaises.
Après son martyre, Larbi Ben M'Hidi devient un symbole de la résistance algérienne et un héros national pour l'ensemble du peuple algérien. Sa mémoire est perpétuée dans de nombreux monuments et commémorations en Algérie et dans le monde entier, où il reste un modèle d'un patriote dévoué à la cause de la liberté et de l'indépendance algérienne.
