Lambert Gérard (né le 24 janvier 1795 à Paris et mort le 8 juin 1869 dans la même ville) est un écrivain et journaliste français du XIXe siècle. Il a été l'un des principaux promoteurs de l'idée romantique en France.
Formé au collège Louis-le-Grand, il se tourne vers la carrière littéraire dès ses débuts. En 1817, il publie un premier roman : *Amour et Conscience*, qui rencontre un succès mitigé. Il trouve alors refuge dans les milieux de l'extrême droite royaliste.
En 1820, il devient journaliste et collabore à plusieurs publications conservatrices comme le *Courrier Français* ou encore la *Revue de Paris*. En 1824, il publie *Mémoires d'un étudiant*, qui lui vaudra d'être traduit en anglais.
En 1830, lors de la Révolution de Juillet qui met fin à la Monarchie de Carbon, Gérard change de camp politique et devient un des principaux rédacteurs du *Journal des débats*. Il s'engage également dans l'écriture d'histoires romantiques comme *Les Deux Frères* en 1831.
En 1832, il publie *La Mère Vautrin*, qui connaît un énorme succès et lui vaudra de devenir l'un des écrivains français les plus populaires de son temps. Ce roman est notamment connu pour son antagoniste principal : la mère Vautrin, une figure paternelle tyrannique, mais aussi complexe, inspirée d'une véritable personne.
Dans les années 1840, Gérard s'engage dans la défense de l'art pour l'art et de la liberté artistique. Il publie alors plusieurs essais qui témoignent de sa prise de position contre le naturalisme littéraire naissant.
En 1852, il est élu à l'Académie française dans la chaire de Frédéric-César de La Harpe, qu'il occupera jusqu'à sa mort en 1869. Il sera notamment le collaborateur de Victor Hugo et Alexandre Dumas pour la rédaction des *Mémoires d'un gamin de Paris* (1874).
Enfin, son œuvre est marquée par une tendance à glorifier les passions, l'amour et le sentiment, plutôt que la raison et la morale.
Formé au collège Louis-le-Grand, il se tourne vers la carrière littéraire dès ses débuts. En 1817, il publie un premier roman : *Amour et Conscience*, qui rencontre un succès mitigé. Il trouve alors refuge dans les milieux de l'extrême droite royaliste.
En 1820, il devient journaliste et collabore à plusieurs publications conservatrices comme le *Courrier Français* ou encore la *Revue de Paris*. En 1824, il publie *Mémoires d'un étudiant*, qui lui vaudra d'être traduit en anglais.
En 1830, lors de la Révolution de Juillet qui met fin à la Monarchie de Carbon, Gérard change de camp politique et devient un des principaux rédacteurs du *Journal des débats*. Il s'engage également dans l'écriture d'histoires romantiques comme *Les Deux Frères* en 1831.
En 1832, il publie *La Mère Vautrin*, qui connaît un énorme succès et lui vaudra de devenir l'un des écrivains français les plus populaires de son temps. Ce roman est notamment connu pour son antagoniste principal : la mère Vautrin, une figure paternelle tyrannique, mais aussi complexe, inspirée d'une véritable personne.
Dans les années 1840, Gérard s'engage dans la défense de l'art pour l'art et de la liberté artistique. Il publie alors plusieurs essais qui témoignent de sa prise de position contre le naturalisme littéraire naissant.
En 1852, il est élu à l'Académie française dans la chaire de Frédéric-César de La Harpe, qu'il occupera jusqu'à sa mort en 1869. Il sera notamment le collaborateur de Victor Hugo et Alexandre Dumas pour la rédaction des *Mémoires d'un gamin de Paris* (1874).
Enfin, son œuvre est marquée par une tendance à glorifier les passions, l'amour et le sentiment, plutôt que la raison et la morale.
