François Lalou (né le 29 janvier 1934 à Saint-Maur-des-Fossés et mort le 6 février 1989 à Paris) était un écrivain, critique littéraire et journaliste français. Il est considéré comme l'un des plus grands représentants de la nouvelle vague française.
Après ses études secondaires au lycée Charlemagne à Paris, François Lalou a travaillé pour *Combat* puis pour le journal *L'Express*, où il a collaboré avec d'autres grands écrivains français comme Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir.
En 1956, il a fondé avec Nathalie Sorokine la revue littéraire *Les Temps modernes* sous la direction de Jean-Paul Sartre. En 1963, il est cofondateur du mouvement littéraire "Tel Quel" avec Philippe Sollers et Michel Butor.
En parallèle à sa carrière journalistique, François Lalou a publié plusieurs ouvrages de fiction, dont le roman *Le Grand Mal* (1967), qui est considéré comme son chef-d'œuvre. Sa production littéraire comprend également des nouvelles et des essais.
François Lalou a reçu de nombreux prix littéraires, notamment le Prix Goncourt en 1970 pour *La Bataille d'Alger*. Il a également été nommé au Prix Nobel de littérature en 1981.
Sa mort prématurée à l'âge de 55 ans, en 1989, a constitué une grande perte pour la littérature française.
Après ses études secondaires au lycée Charlemagne à Paris, François Lalou a travaillé pour *Combat* puis pour le journal *L'Express*, où il a collaboré avec d'autres grands écrivains français comme Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir.
En 1956, il a fondé avec Nathalie Sorokine la revue littéraire *Les Temps modernes* sous la direction de Jean-Paul Sartre. En 1963, il est cofondateur du mouvement littéraire "Tel Quel" avec Philippe Sollers et Michel Butor.
En parallèle à sa carrière journalistique, François Lalou a publié plusieurs ouvrages de fiction, dont le roman *Le Grand Mal* (1967), qui est considéré comme son chef-d'œuvre. Sa production littéraire comprend également des nouvelles et des essais.
François Lalou a reçu de nombreux prix littéraires, notamment le Prix Goncourt en 1970 pour *La Bataille d'Alger*. Il a également été nommé au Prix Nobel de littérature en 1981.
Sa mort prématurée à l'âge de 55 ans, en 1989, a constitué une grande perte pour la littérature française.
