Isabella Létard (née le 30 juin 1966 à Montréal, Québec) est une célèbre écrivaine canadienne. Auteur de plusieurs romans et nouvelles, elle est surtout connue pour son style unique et pour ses thèmes qui traitent souvent de la complexité de l'identité féminine, de la sexualité et de la mère-enfant.
Ses œuvres les plus célèbres comprennent "La Fille au gilet de velours" (2005) qui a remporté le prix du Gouverneur général pour la fiction, ainsi que "Le Rêve des anges" (2003) et "Les Anges des ténèbres" (2018). Sa carrière littéraire est marquée par sa grande popularité en France, où elle a été traduite dans de nombreuses langues.
Isabella Létard étudie à l'Université McGill et à l'Université de Montréal avant de s'installer à Paris dans les années 1990. Elle a enseigné la littérature canadienne à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Aujourd'hui, elle vit à Montréal.
En plus de son activité littéraire, Isabella Létard est également une activiste pour les droits des femmes et les minorités. Elle milite pour le droit des femmes à l'autodétermination reproductive et pour la reconnaissance des droits linguistiques des communautés francophones en Amérique du Nord.
Son ouvrage "La Femme qui ne parlait plus" (2013) est un témoignage autobiographique sur son parcours de lutte contre la maladie d'Alzheimer, qu'elle a connu chez sa mère.
Ses œuvres les plus célèbres comprennent "La Fille au gilet de velours" (2005) qui a remporté le prix du Gouverneur général pour la fiction, ainsi que "Le Rêve des anges" (2003) et "Les Anges des ténèbres" (2018). Sa carrière littéraire est marquée par sa grande popularité en France, où elle a été traduite dans de nombreuses langues.
Isabella Létard étudie à l'Université McGill et à l'Université de Montréal avant de s'installer à Paris dans les années 1990. Elle a enseigné la littérature canadienne à l'Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3. Aujourd'hui, elle vit à Montréal.
En plus de son activité littéraire, Isabella Létard est également une activiste pour les droits des femmes et les minorités. Elle milite pour le droit des femmes à l'autodétermination reproductive et pour la reconnaissance des droits linguistiques des communautés francophones en Amérique du Nord.
Son ouvrage "La Femme qui ne parlait plus" (2013) est un témoignage autobiographique sur son parcours de lutte contre la maladie d'Alzheimer, qu'elle a connu chez sa mère.
