Kim Kiyo-yong (Corée du Nord, 5 janvier 1941 -) est une écrivaine et poète nord-coréenne connue pour son style littéraire profondément introspectif et mélancolique. Elle est considérée comme l'une des principales figures de la littérature coréenne contemporaine.
Née dans une famille de paysans pauvres, Kim Ki-young a perdu sa mère très jeune. Ses premiers écrits ont été publiés en 1962 et ont attiré l'attention des critiques littéraires grâce à leur sensibilité et à leur maîtrise de la langue coréenne.
En 1973, elle a obtenu le prix d'État de littérature pour son recueil de poésie "Chansons du cœur". Ensuite, elle a écrit des nouvelles et des romans tels que "L'Arbre qui pleure" (1986) et "Les Larmes de la vallée" (1990), dans lesquels elle explore le thème de l'exil intérieur et du souvenir.
Son œuvre a été traduite en plusieurs langues et est appréciée à travers le monde pour sa profondeur émotionnelle et son style littéraire unique. Kim Ki-young continue d'écrire et de donner des conférences sur la littérature coréenne contemporaine.
Née dans une famille de paysans pauvres, Kim Ki-young a perdu sa mère très jeune. Ses premiers écrits ont été publiés en 1962 et ont attiré l'attention des critiques littéraires grâce à leur sensibilité et à leur maîtrise de la langue coréenne.
En 1973, elle a obtenu le prix d'État de littérature pour son recueil de poésie "Chansons du cœur". Ensuite, elle a écrit des nouvelles et des romans tels que "L'Arbre qui pleure" (1986) et "Les Larmes de la vallée" (1990), dans lesquels elle explore le thème de l'exil intérieur et du souvenir.
Son œuvre a été traduite en plusieurs langues et est appréciée à travers le monde pour sa profondeur émotionnelle et son style littéraire unique. Kim Ki-young continue d'écrire et de donner des conférences sur la littérature coréenne contemporaine.
