Khalifa bin Salman Al Khalifa (en arabe : خليفة بن سلمان الخليفة) est un membre de la famille royale bahreinito-saoudienne. Il est né le 21 janvier 1965 à Manama, dans l'État de Bahreïn.
Khalifa Al Khalifa a étudié à l'université King Abdulaziz à Riyad et a obtenu un diplôme en droit islamique. Il est connu pour son implication politique importante depuis les années 1980, notamment comme secrétaire général de la Cour suprême du Conseil des représentants des citoyens (Bahraini Shura Council), poste qu'il a occupé pendant plus de vingt ans.
Le 6 janvier 2020, il est devenu Premier ministre de Bahreïn en succédant à Khalifa ibn Salman al-Khalifah (non lié à lui), qui démissionna après quarante ans au pouvoir. En tant que Premier ministre, Khalifa Al Khalifa est également président du gouvernement et chef de la Défense royale de Bahreïn.
En tant que membre de la famille royale bahreinito-saoudienne, Khalifa Al Khalifa a une grande influence politique au Moyen-Orient. Sa gestion de la situation politique de Bahreïn est particulièrement suivie par les observateurs internationaux en raison des problèmes politiques et sociaux que le pays a connus ces dernières années.
Khalifa Al Khalifa a étudié à l'université King Abdulaziz à Riyad et a obtenu un diplôme en droit islamique. Il est connu pour son implication politique importante depuis les années 1980, notamment comme secrétaire général de la Cour suprême du Conseil des représentants des citoyens (Bahraini Shura Council), poste qu'il a occupé pendant plus de vingt ans.
Le 6 janvier 2020, il est devenu Premier ministre de Bahreïn en succédant à Khalifa ibn Salman al-Khalifah (non lié à lui), qui démissionna après quarante ans au pouvoir. En tant que Premier ministre, Khalifa Al Khalifa est également président du gouvernement et chef de la Défense royale de Bahreïn.
En tant que membre de la famille royale bahreinito-saoudienne, Khalifa Al Khalifa a une grande influence politique au Moyen-Orient. Sa gestion de la situation politique de Bahreïn est particulièrement suivie par les observateurs internationaux en raison des problèmes politiques et sociaux que le pays a connus ces dernières années.
