Julia Kristeva (née le 24 juin 1941 à Sofia, Bulgarie) est une critiquenne, romancière et philosophe française d'origine bulgare. Elle est considérée comme l'une des principales représentantes de la théorie littéraire française contemporaine.
Elle étudie la linguistique et la philosophie à Sofia avant de partir pour Paris en 1966, où elle poursuit ses études à la Sorbonne. Elle travaille ensuite comme assistante d'Émile Benveniste puis de Roland Barthes et rencontre Jacques Lacan.
En 1974, elle publie son premier ouvrage, "Réflexions sur le langage poétique", qui est considéré comme un travail fondamental dans la théorie littéraire française contemporaine. Elle enseigne à l'université Paris-VIII de 1975 à 2008.
Kristeva a également écrit plusieurs romans et essais sur la psychanalyse, la philosophie, la culture et la politique, notamment "La Revolution du langage poétique" (1974), "La Maladie de la loi" (1980) et "Le Temps et l'Alterité" (1991).
En 2001, elle reçoit le Grand Prix de Philosophie de l'Académie française pour son livre "Noms de femmes". Elle est membre correspondante de l'Académie des sciences morales et politiques depuis 2006.
Julia Kristeva est toujours très active dans le monde universitaire, notamment en tant que directrice de la revue "Les Temps modernes". Sa réflexion est marquée par sa préoccupation pour l'exil intellectuel, les migrations et les cultures minoritaires.
Elle étudie la linguistique et la philosophie à Sofia avant de partir pour Paris en 1966, où elle poursuit ses études à la Sorbonne. Elle travaille ensuite comme assistante d'Émile Benveniste puis de Roland Barthes et rencontre Jacques Lacan.
En 1974, elle publie son premier ouvrage, "Réflexions sur le langage poétique", qui est considéré comme un travail fondamental dans la théorie littéraire française contemporaine. Elle enseigne à l'université Paris-VIII de 1975 à 2008.
Kristeva a également écrit plusieurs romans et essais sur la psychanalyse, la philosophie, la culture et la politique, notamment "La Revolution du langage poétique" (1974), "La Maladie de la loi" (1980) et "Le Temps et l'Alterité" (1991).
En 2001, elle reçoit le Grand Prix de Philosophie de l'Académie française pour son livre "Noms de femmes". Elle est membre correspondante de l'Académie des sciences morales et politiques depuis 2006.
Julia Kristeva est toujours très active dans le monde universitaire, notamment en tant que directrice de la revue "Les Temps modernes". Sa réflexion est marquée par sa préoccupation pour l'exil intellectuel, les migrations et les cultures minoritaires.
