Jules François Richer, né le 26 février 1848 à Montréal et décédé le 3 août 1926 dans la même ville, est un peintre canadien-français reconnu pour ses œuvres de genre et son style réaliste.
Son père, François Richer, était un marchand de bois, et sa mère, Philomène Desjardins, une femme au foyer. Jules est le deuxième des huit enfants du couple. Il grandit dans une famille pauvre et il travailla comme mineur et forgeron avant d'entamer des études à l'École des beaux-arts de Montréal en 1873, où il reçoit des leçons de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté.
En 1876, Richer décide d'aller étudier à Paris à l'Académie Julian, où il se lie avec des peintres français comme Jean-Léon Gérôme et Alexandre Cabanel. Il travaille à la fois dans le studio de son maître et en plein air, ce qui lui permet de développer une compréhension plus profonde de la lumière.
Richer retourne au Canada en 1878 et ouvre un atelier à Montréal. Il se spécialise alors dans les peintures de genre, représentant des scènes de la vie quotidienne du peuple canadien-français. Ses tableaux sont populaires et il reçoit des commandes de collectionneurs privés et d'institutions publiques.
Il est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Montréal en 1879, un poste qu'il occupera pendant plus de cinquante ans. Il a également été président de la Société royale du Canada et membre de la Société nationale des beaux-arts de Paris.
Enfin, Jules François Richer est décédé à Montréal le 3 août 1926, à l'âge de 78 ans. Sa carrière a été marquée par son talent et sa contribution majeure au mouvement de la peinture canadienne-française.
Son père, François Richer, était un marchand de bois, et sa mère, Philomène Desjardins, une femme au foyer. Jules est le deuxième des huit enfants du couple. Il grandit dans une famille pauvre et il travailla comme mineur et forgeron avant d'entamer des études à l'École des beaux-arts de Montréal en 1873, où il reçoit des leçons de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté.
En 1876, Richer décide d'aller étudier à Paris à l'Académie Julian, où il se lie avec des peintres français comme Jean-Léon Gérôme et Alexandre Cabanel. Il travaille à la fois dans le studio de son maître et en plein air, ce qui lui permet de développer une compréhension plus profonde de la lumière.
Richer retourne au Canada en 1878 et ouvre un atelier à Montréal. Il se spécialise alors dans les peintures de genre, représentant des scènes de la vie quotidienne du peuple canadien-français. Ses tableaux sont populaires et il reçoit des commandes de collectionneurs privés et d'institutions publiques.
Il est nommé professeur à l'École des beaux-arts de Montréal en 1879, un poste qu'il occupera pendant plus de cinquante ans. Il a également été président de la Société royale du Canada et membre de la Société nationale des beaux-arts de Paris.
Enfin, Jules François Richer est décédé à Montréal le 3 août 1926, à l'âge de 78 ans. Sa carrière a été marquée par son talent et sa contribution majeure au mouvement de la peinture canadienne-française.
