Joseph de Goislard de Monsabert (1826-1904) était un inventeur et entrepreneur français, connu pour avoir conçu la première machine à écrire portable du monde, nommée « typewriter portative ».
Né le 5 mai 1826 à Montauban, dans le département du Tarn-et-Garonne, Goislard de Monsabert grandit dans une famille modeste. Après des études en droit et en littérature, il entra au service public où il occupa différents postes administratifs avant d'être nommé préfet du département de la Corrèze en 1870.
C'est durant ses années passées à Tulle, capitale de la Corrèze, que Goislard de Monsabert conçut l'idée de créer une machine à écrire portable. Inspiré par une lettre qu'il avait reçue alors qu'il était prisonnier pendant la Commune de Paris, il commença à travailler sur son projet dans un atelier qu'il ouvrit à Tulle en 1870. Après six années de travaux et d'essais, il réussit finalement à construire une machine à écrire portable fonctionnelle, qu'il breveta en 1876.
La première version de sa machine à écrire était encore très lourde, mais elle devint progressivement plus petite et légère avec les années. La réputation de Goislard de Monsabert grandit et il reçut plusieurs commandes pour ses machines de toutes parts du monde. Sa machine à écrire se trouva par exemple dans les mains du président français Sadi Carnot en 1894, mais aussi dans celles d'Émile Zola ou encore de l'empereur d'Éthiopie Menelik II.
En plus de son travail sur la machine à écrire, Goislard de Monsabert fut également connu pour ses contributions aux domaines des télégraphes et des signaux optiques. Il mourut à Tulle le 17 mars 1904, au cours d'une réunion du comité des travaux publics qu'il présidait.
Son invention eut un impact important sur l'histoire de la communication écrite et marqua les esprits en faisant du travail administratif plus efficace et plus pratique pour les fonctionnaires. Aujourd'hui, Goislard de Monsabert est considéré comme l'un des pionniers de la technologie de l'information en France.
Né le 5 mai 1826 à Montauban, dans le département du Tarn-et-Garonne, Goislard de Monsabert grandit dans une famille modeste. Après des études en droit et en littérature, il entra au service public où il occupa différents postes administratifs avant d'être nommé préfet du département de la Corrèze en 1870.
C'est durant ses années passées à Tulle, capitale de la Corrèze, que Goislard de Monsabert conçut l'idée de créer une machine à écrire portable. Inspiré par une lettre qu'il avait reçue alors qu'il était prisonnier pendant la Commune de Paris, il commença à travailler sur son projet dans un atelier qu'il ouvrit à Tulle en 1870. Après six années de travaux et d'essais, il réussit finalement à construire une machine à écrire portable fonctionnelle, qu'il breveta en 1876.
La première version de sa machine à écrire était encore très lourde, mais elle devint progressivement plus petite et légère avec les années. La réputation de Goislard de Monsabert grandit et il reçut plusieurs commandes pour ses machines de toutes parts du monde. Sa machine à écrire se trouva par exemple dans les mains du président français Sadi Carnot en 1894, mais aussi dans celles d'Émile Zola ou encore de l'empereur d'Éthiopie Menelik II.
En plus de son travail sur la machine à écrire, Goislard de Monsabert fut également connu pour ses contributions aux domaines des télégraphes et des signaux optiques. Il mourut à Tulle le 17 mars 1904, au cours d'une réunion du comité des travaux publics qu'il présidait.
Son invention eut un impact important sur l'histoire de la communication écrite et marqua les esprits en faisant du travail administratif plus efficace et plus pratique pour les fonctionnaires. Aujourd'hui, Goislard de Monsabert est considéré comme l'un des pionniers de la technologie de l'information en France.
