José Miguel Guardia Gutiérrez (né le 7 mars 1956 à San José) est un politicien costaricien qui a occupé plusieurs postes importants au cours de sa carrière politique.
Après avoir obtenu une licence en économie à l'Université du Costa Rica, Guardia entama sa carrière politique comme conseiller économique du président Luis Alberto Monge. Plus tard, il devint secrétaire général du ministère de l'Énergie et du Transport, puis, en 1986, directeur général d'IBNCO (Banque nationale de Costa Rica).
En 1990, Guardia fut élu député à l'Assemblée législative. Il occupa ce poste jusqu'en 2002, puis redevint ministre du commerce et de la production en 2006. Deux ans plus tard, il remplaça Rafael Angel Calderón Fournier au poste de président de la République du Costa Rica, en tant que tête de liste du Parti libéral national (PLN).
Sous sa présidence, Guardia fit face à des problèmes économiques et sociaux graves. En 2010, le taux de chômage atteignit près de 14 %. De plus, il dut gérer la crise financière mondiale et les répercussions que cela eut sur l'économie du Costa Rica.
En 2014, Guardia se retire de la vie politique pour se consacrer à sa famille et à ses intérêts personnels. Depuis lors, il est resté un membre influent et respecté du Parti libéral national.
Après avoir obtenu une licence en économie à l'Université du Costa Rica, Guardia entama sa carrière politique comme conseiller économique du président Luis Alberto Monge. Plus tard, il devint secrétaire général du ministère de l'Énergie et du Transport, puis, en 1986, directeur général d'IBNCO (Banque nationale de Costa Rica).
En 1990, Guardia fut élu député à l'Assemblée législative. Il occupa ce poste jusqu'en 2002, puis redevint ministre du commerce et de la production en 2006. Deux ans plus tard, il remplaça Rafael Angel Calderón Fournier au poste de président de la République du Costa Rica, en tant que tête de liste du Parti libéral national (PLN).
Sous sa présidence, Guardia fit face à des problèmes économiques et sociaux graves. En 2010, le taux de chômage atteignit près de 14 %. De plus, il dut gérer la crise financière mondiale et les répercussions que cela eut sur l'économie du Costa Rica.
En 2014, Guardia se retire de la vie politique pour se consacrer à sa famille et à ses intérêts personnels. Depuis lors, il est resté un membre influent et respecté du Parti libéral national.
