John Wesley Thompson (né le 24 août 1930 à Philadelphie et mort le 30 mai 2002) est un ingénieur et physicien américain connu pour ses contributions significatives aux domaines de la mécanique quantique, des mathématiques appliquées et de l'informatique.
Thompson a obtenu son doctorat en ingénierie électrique à l'Université du Massachusetts Amherst en 1954. Il a ensuite occupé un poste d'enseignant-chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et à l'Université Stanford, où il a travaillé sur les algorithmes de calcul numérique et de simultanéité.
En 1962, Thompson est retourné à l'Université du Massachusetts Amherst en tant que professeur titulaire et directeur du département d'informatique. Il a également occupé des postes à l'Université Yale et à l'Université Carnegie Mellon.
Thompson est connu pour son travail sur les algorithmes de calcul de dérivées numériques, notamment la méthode des différences finites, qui est largement utilisée dans le domaine de l'ingénierie électrique et de l'informatique. Il a également travaillé sur les problèmes de programmation parallèle et distribuée, ainsi que sur la théorie des codes correcteurs d'erreurs pour les systèmes informatiques.
En reconnaissance de ses contributions à la science et à l'ingénierie, Thompson a reçu plusieurs prix et récompenses, dont le Prix Turing en 1968, le Prix Gödel en 1976, le Prix John von Neumann en 1982 et le Prix Kyoto en 1990.
Thompson a obtenu son doctorat en ingénierie électrique à l'Université du Massachusetts Amherst en 1954. Il a ensuite occupé un poste d'enseignant-chercheur au MIT (Massachusetts Institute of Technology) et à l'Université Stanford, où il a travaillé sur les algorithmes de calcul numérique et de simultanéité.
En 1962, Thompson est retourné à l'Université du Massachusetts Amherst en tant que professeur titulaire et directeur du département d'informatique. Il a également occupé des postes à l'Université Yale et à l'Université Carnegie Mellon.
Thompson est connu pour son travail sur les algorithmes de calcul de dérivées numériques, notamment la méthode des différences finites, qui est largement utilisée dans le domaine de l'ingénierie électrique et de l'informatique. Il a également travaillé sur les problèmes de programmation parallèle et distribuée, ainsi que sur la théorie des codes correcteurs d'erreurs pour les systèmes informatiques.
En reconnaissance de ses contributions à la science et à l'ingénierie, Thompson a reçu plusieurs prix et récompenses, dont le Prix Turing en 1968, le Prix Gödel en 1976, le Prix John von Neumann en 1982 et le Prix Kyoto en 1990.
