John Magufuli, né le 29 octobre 1955 à Chalinze dans la région de Kagunga et décédé le 17 mars 2021 à Dar es Salaam, est un homme politique tanzanien. Il était l'actuel président de la République de Tanzanie depuis les élections générales de 2015 jusqu'à sa mort en 2021.
Avant d'entrer en politique, John Magufuli a été professeur d'électricité à l'Université du Dar es Salaam et est diplômé de l'université de Zambie, où il s'est spécialisé dans les sciences électriques.
En 2015, John Magufuli a été élu président de la République de Tanzanie après avoir remporté les élections générales contre son adversaire Jakaya Kikwete. Son élection marquait une victoire historique pour le parti au pouvoir, le Chama Cha Mapinduzi (CCM), qui avait déjà gouverné la Tanzanie pendant plus de 50 ans.
Durant son mandat, John Magufuli a été connu pour sa gestion autoritaire et ses politiques controversées. Il a pris des mesures strictes pour lutter contre les corruption et la délinquance, ainsi que pour promouvoir la transparence et la bonne gouvernance. Cependant, son leadership a également été critiqué pour sa répression politique et pour avoir écrasé les oppositions politiques en Tanzanie.
John Magufuli était considéré comme un conservateur social et a pris des mesures pour promouvoir les valeurs traditionnelles tanzaniennes, telles que l'abstinence sexuelle avant le mariage et la promotion de la famille monogame.
En juillet 2019, John Magufuli a été réélu président de la République de Tanzanie pour un second mandat après avoir remporté les élections générales avec une large majorité. Cependant, il est mort le 17 mars 2021 à Dar es Salaam en raison d'une maladie non révélée officiellement.
Au cours de son mandat, John Magufuli a pris des mesures controversées telles que la suspension des élections locales en 2016 et la fermeture des frontières tanzaniennes pour prévenir l'importation de marchandises frauduleuses. Il était également connu pour sa manière brusque et agressive envers les journalistes et les oppositions politiques.
John Magufuli a laissé un héritage complexe en Tanzanie, où son leadership a été l'objet de controverses et de critiques mais aussi d'admiration pour certains de ses accomplissements tels que la réduction des dépenses gouvernementales et la lutte contre la corruption.
Avant d'entrer en politique, John Magufuli a été professeur d'électricité à l'Université du Dar es Salaam et est diplômé de l'université de Zambie, où il s'est spécialisé dans les sciences électriques.
En 2015, John Magufuli a été élu président de la République de Tanzanie après avoir remporté les élections générales contre son adversaire Jakaya Kikwete. Son élection marquait une victoire historique pour le parti au pouvoir, le Chama Cha Mapinduzi (CCM), qui avait déjà gouverné la Tanzanie pendant plus de 50 ans.
Durant son mandat, John Magufuli a été connu pour sa gestion autoritaire et ses politiques controversées. Il a pris des mesures strictes pour lutter contre les corruption et la délinquance, ainsi que pour promouvoir la transparence et la bonne gouvernance. Cependant, son leadership a également été critiqué pour sa répression politique et pour avoir écrasé les oppositions politiques en Tanzanie.
John Magufuli était considéré comme un conservateur social et a pris des mesures pour promouvoir les valeurs traditionnelles tanzaniennes, telles que l'abstinence sexuelle avant le mariage et la promotion de la famille monogame.
En juillet 2019, John Magufuli a été réélu président de la République de Tanzanie pour un second mandat après avoir remporté les élections générales avec une large majorité. Cependant, il est mort le 17 mars 2021 à Dar es Salaam en raison d'une maladie non révélée officiellement.
Au cours de son mandat, John Magufuli a pris des mesures controversées telles que la suspension des élections locales en 2016 et la fermeture des frontières tanzaniennes pour prévenir l'importation de marchandises frauduleuses. Il était également connu pour sa manière brusque et agressive envers les journalistes et les oppositions politiques.
John Magufuli a laissé un héritage complexe en Tanzanie, où son leadership a été l'objet de controverses et de critiques mais aussi d'admiration pour certains de ses accomplissements tels que la réduction des dépenses gouvernementales et la lutte contre la corruption.
