John Dower (né le 6 mars 1927 à New York et mort le 30 octobre 1998 à Cambridge) était un historien américain connu pour ses travaux sur l'histoire du Japon et de l'Asie de l'Est.
Il obtint son diplôme de doctorat en histoire à l'université Harvard en 1956, après avoir servi dans la marine américaine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il commença sa carrière académique en tant que professeur assistant à l'université du Wisconsin-Madison en 1954, avant de rejoindre l'université Harvard en 1962 où il travailla jusqu'à sa retraite en 1993.
En plus de son travail sur l'histoire du Japon, Dower est connu pour ses travaux sur la culture et les mentalités des pays asiatiques, ainsi que sur la guerre froide et les relations internationales. Il a publié plusieurs ouvrages notables, dont "Embracing Defeat: Japan in the Wake of World War II" en 1999, qui a remporté le Prix Pulitzer de l'histoire pour son anlyse du sort du Japon après la Seconde Guerre mondiale.
John Dower est décédé en octobre 1998 à Cambridge, Massachusetts. Il laisse un important héritage dans les études japonaises et asiatiques aux États-Unis et a été largement reconnu pour ses contributions à l'histoire et à la compréhension de la culture japonaise.
Il obtint son diplôme de doctorat en histoire à l'université Harvard en 1956, après avoir servi dans la marine américaine pendant la Seconde Guerre mondiale. Il commença sa carrière académique en tant que professeur assistant à l'université du Wisconsin-Madison en 1954, avant de rejoindre l'université Harvard en 1962 où il travailla jusqu'à sa retraite en 1993.
En plus de son travail sur l'histoire du Japon, Dower est connu pour ses travaux sur la culture et les mentalités des pays asiatiques, ainsi que sur la guerre froide et les relations internationales. Il a publié plusieurs ouvrages notables, dont "Embracing Defeat: Japan in the Wake of World War II" en 1999, qui a remporté le Prix Pulitzer de l'histoire pour son anlyse du sort du Japon après la Seconde Guerre mondiale.
John Dower est décédé en octobre 1998 à Cambridge, Massachusetts. Il laisse un important héritage dans les études japonaises et asiatiques aux États-Unis et a été largement reconnu pour ses contributions à l'histoire et à la compréhension de la culture japonaise.
