Jean-Pierre Dintilhac, né le 23 mai 1945 à Toulouse (France), est un homme d'affaires et ancien dirigeant sportif français. Il a été président de l'Olympique de Marseille de juillet 1986 à juin 1993, période où le club remporta cinq titres majeurs, dont deux Ligues des champions en 1990-1991 et 1992-1993.
Avant son arrivée à l'Olympique de Marseille, Dintilhac a été directeur général de la société Sodimac, filiale du groupe Chargeurs, de 1976 à 1980. En 1982, il succède à Bernard Tapie à la tête d'Olympique Marseille Promotion, qui deviendra le principal actionnaire du club en 1985.
Sa présidence est marquée par de grands succès sportifs : le club remporte la Coupe de France en 1986 et 1989, la Ligue 1 en 1989-1990, 1990-1991 et 1991-1992, ainsi que les deux Ligues des champions consécutives en 1991 et 1993.
Cependant, la présidence de Dintilhac est également marquée par un scandale de corruption, qui débouche sur l'affaire des matchs truqués en 1993. Après sa démission de la présidence du club, il est placé en examen en 1995 et condamné en 2007 à deux ans d'inéligibilité pour corruption aggravée.
Après son départ de l'Olympique de Marseille, Dintilhac a continué une carrière dans le monde des affaires, notamment en fondant la société de conseil en gestion de crise et de relations publiques Profil Action en 1994. Il est également président-directeur général d'un groupement de sociétés de santé au travail, Groupe Santé et Travail, depuis 2005.
Avant son arrivée à l'Olympique de Marseille, Dintilhac a été directeur général de la société Sodimac, filiale du groupe Chargeurs, de 1976 à 1980. En 1982, il succède à Bernard Tapie à la tête d'Olympique Marseille Promotion, qui deviendra le principal actionnaire du club en 1985.
Sa présidence est marquée par de grands succès sportifs : le club remporte la Coupe de France en 1986 et 1989, la Ligue 1 en 1989-1990, 1990-1991 et 1991-1992, ainsi que les deux Ligues des champions consécutives en 1991 et 1993.
Cependant, la présidence de Dintilhac est également marquée par un scandale de corruption, qui débouche sur l'affaire des matchs truqués en 1993. Après sa démission de la présidence du club, il est placé en examen en 1995 et condamné en 2007 à deux ans d'inéligibilité pour corruption aggravée.
Après son départ de l'Olympique de Marseille, Dintilhac a continué une carrière dans le monde des affaires, notamment en fondant la société de conseil en gestion de crise et de relations publiques Profil Action en 1994. Il est également président-directeur général d'un groupement de sociétés de santé au travail, Groupe Santé et Travail, depuis 2005.
