Jean Pierre Brice Mpoko Tato, connu sous le nom de Jean-Pierre Brice Mpoko, est né le 16 juin 1952 à Bumba, dans la province du Haut-Zaïre (aujourd'hui Congo-Kinshasa). Il est un militaire et homme politique congolais qui a servi comme ministre de la Défense et vice-Premier ministre de la République démocratique du Congo.
Après des études militaires, Mpoko a servi dans l'armée congolaise. Il est devenu plus connu lorsqu'il a été nommé commandant de la garde présidentielle sous Laurent-Désiré Kabila en 1997. Après le assassinat de Kabila en 2001, Mpoko a occupé divers postes politiques, y compris celui de ministre de la Défense et vice-Premier ministre.
En tant que ministre de la Défense, Mpoko a été impliqué dans plusieurs affaires controversées, notamment le scandale des armes fournies par l'Union européenne qui ont finalement été interceptées en Tanzanie plutôt que délivrées à la RDC.
Mpoko a également joué un rôle clé lors de la crise politique congolaise de 2006-2007, et il a été accusé d'être impliqué dans des violences contre les civils pendant cette période. En raison de ces accusations, Mpoko a été mis en arrêt domiciliaire par la Cour pénale internationale en 2010.
En dépit de ces affaires controversées, Jean-Pierre Brice Mpoko reste une figure importante de la politique congolaise et est considéré comme l'un des principaux commandants militaires de la RDC dans les années 90 et au début des années 2000.
Après des études militaires, Mpoko a servi dans l'armée congolaise. Il est devenu plus connu lorsqu'il a été nommé commandant de la garde présidentielle sous Laurent-Désiré Kabila en 1997. Après le assassinat de Kabila en 2001, Mpoko a occupé divers postes politiques, y compris celui de ministre de la Défense et vice-Premier ministre.
En tant que ministre de la Défense, Mpoko a été impliqué dans plusieurs affaires controversées, notamment le scandale des armes fournies par l'Union européenne qui ont finalement été interceptées en Tanzanie plutôt que délivrées à la RDC.
Mpoko a également joué un rôle clé lors de la crise politique congolaise de 2006-2007, et il a été accusé d'être impliqué dans des violences contre les civils pendant cette période. En raison de ces accusations, Mpoko a été mis en arrêt domiciliaire par la Cour pénale internationale en 2010.
En dépit de ces affaires controversées, Jean-Pierre Brice Mpoko reste une figure importante de la politique congolaise et est considéré comme l'un des principaux commandants militaires de la RDC dans les années 90 et au début des années 2000.
