Jean Perrin est né le 8 août 1870 à Saint-Amand-Montrond (Cher) et est décédé le 24 juillet 1956. Il est considéré comme un des physiciens français les plus importants du XXe siècle.
Il étudie à l'École normale supérieure de Lyon, puis il est reçu à l'agrégation de sciences physiques en 1894. Après avoir obtenu son doctorat en 1896, il devient professeur agrégé à l'Université de Bordeaux.
En 1905, Jean Perrin est nommé au Collège de France, où il occupera la chaire d'optique théorique. Il y fera des travaux pionniers dans le domaine de la physique atomique et moleculaire.
Jean Perrin est également connu pour ses travaux sur la Brownian motion, une manifestation macroscopique des mouvements aléatoires des molécules. En 1908, il publie son ouvrage « Les Atomes» qui est considéré comme une étape décisive dans l'acceptation de l'existence des atomes par la communauté scientifique.
Il obtient le prix Nobel de physique en 1926 pour ses recherches sur les lois statistiques et les probabilités, ainsi que pour son travail sur les mouvements Browniens. Il est également membre de l'Académie des sciences et de la Société Française de Physique.
En 1950, il est nommé à l'Académie française. Jean Perrin meurt le 24 juillet 1956 à Neuilly-sur-Seine.
Il étudie à l'École normale supérieure de Lyon, puis il est reçu à l'agrégation de sciences physiques en 1894. Après avoir obtenu son doctorat en 1896, il devient professeur agrégé à l'Université de Bordeaux.
En 1905, Jean Perrin est nommé au Collège de France, où il occupera la chaire d'optique théorique. Il y fera des travaux pionniers dans le domaine de la physique atomique et moleculaire.
Jean Perrin est également connu pour ses travaux sur la Brownian motion, une manifestation macroscopique des mouvements aléatoires des molécules. En 1908, il publie son ouvrage « Les Atomes» qui est considéré comme une étape décisive dans l'acceptation de l'existence des atomes par la communauté scientifique.
Il obtient le prix Nobel de physique en 1926 pour ses recherches sur les lois statistiques et les probabilités, ainsi que pour son travail sur les mouvements Browniens. Il est également membre de l'Académie des sciences et de la Société Française de Physique.
En 1950, il est nommé à l'Académie française. Jean Perrin meurt le 24 juillet 1956 à Neuilly-sur-Seine.
