Jean Joseph d'Arcet, né le 12 juillet 1729 à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne) et décédé le 3 août 1821 à Paris, est un botaniste français, considéré comme l'un des pères de la mycologie moderne.
Après ses études à l'université de Montpellier, il s'installe à Paris en 1765, où il entre dans l'entourage du naturaliste Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon. Il est nommé professeur d'histoire naturelle au Jardin des Plantes en 1779, poste qu'il occupera jusqu'en 1806.
Ses travaux les plus importants sont consacrés à la mycologie : il publie notamment "Méthode pour connaître les champignons" en 1785 et "Histoire naturelle des champignons ou Fungus, suivie d'observations sur les plantes parasites" de 1793 à 1796. Il y décrit plus de 400 espèces nouvelles.
En 1798, il devient membre de l'Académie des sciences. D'Arcet est également connu pour ses travaux en botanique, notamment sa classification des graminées.
Sa mort, à l'âge de 92 ans, marque la fin d'une longue carrière consacrée à la découverte et à la description de nombreuses espèces végétales et fongiques. Sa réputation a perduré et il est toujours considéré comme un pionnier dans le domaine de la mycologie.
Après ses études à l'université de Montpellier, il s'installe à Paris en 1765, où il entre dans l'entourage du naturaliste Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon. Il est nommé professeur d'histoire naturelle au Jardin des Plantes en 1779, poste qu'il occupera jusqu'en 1806.
Ses travaux les plus importants sont consacrés à la mycologie : il publie notamment "Méthode pour connaître les champignons" en 1785 et "Histoire naturelle des champignons ou Fungus, suivie d'observations sur les plantes parasites" de 1793 à 1796. Il y décrit plus de 400 espèces nouvelles.
En 1798, il devient membre de l'Académie des sciences. D'Arcet est également connu pour ses travaux en botanique, notamment sa classification des graminées.
Sa mort, à l'âge de 92 ans, marque la fin d'une longue carrière consacrée à la découverte et à la description de nombreuses espèces végétales et fongiques. Sa réputation a perduré et il est toujours considéré comme un pionnier dans le domaine de la mycologie.
