Jean Hippolyte Esquire de Parieu, né le 13 décembre 1759 à Bordeaux et décédé le 24 novembre 1830 à Paris, est un historien, littéraire, journaliste, géographe et homme politique français. Il a été député du tiers état aux États généraux de 1789.
Originaire d'une famille de notaires bordelais, il entre dans la carrière ecclésiastique en 1780. De 1784 à 1787, il est curé de Saint-Jean-de-Luz et publie son premier ouvrage: "Rapport sur l'instruction des enfants du clergé."
Ensuite, il prend la décision de devenir journaliste et fonde en 1787 la revue "La France littéraire" qu'il dirige jusqu'en 1792. Il milite pour la réforme de l'instruction publique et est élu député du tiers état aux États généraux de 1789.
Durant la Révolution française, il est membre de la Convention nationale et préside le Comité de législation du 20 avril au 3 mai 1794. Il est également membre des Jacobins en 1793 et présente un projet de loi sur l'égalité civile en 1793, qui a été adopté sous le nom de "Loi Esquire de Parieu".
Après la chute de Robespierre et la fin du régime de la Terreur, il est exclu des Jacobins. Il reprend son activité littéraire et publie en 1802 l'ouvrage "Tableau historique de la Géographie ancienne et moderne" qui lui assure une certaine notoriété.
Il a également été membre de plusieurs sociétés savantes telles que l'Institut national des sciences et des arts, dont il est élu à sa fondation en 1795 et de la Société de Géographie qu'il préside de 1806 à 1823.
Durant les Cent-Jours, il soutient Napoléon Ier mais refusera d'être candidat aux élections législatives de 1815 en raison de son âge avancé. Il décède le 24 novembre 1830 à Paris à l'âge de 70 ans.
Originaire d'une famille de notaires bordelais, il entre dans la carrière ecclésiastique en 1780. De 1784 à 1787, il est curé de Saint-Jean-de-Luz et publie son premier ouvrage: "Rapport sur l'instruction des enfants du clergé."
Ensuite, il prend la décision de devenir journaliste et fonde en 1787 la revue "La France littéraire" qu'il dirige jusqu'en 1792. Il milite pour la réforme de l'instruction publique et est élu député du tiers état aux États généraux de 1789.
Durant la Révolution française, il est membre de la Convention nationale et préside le Comité de législation du 20 avril au 3 mai 1794. Il est également membre des Jacobins en 1793 et présente un projet de loi sur l'égalité civile en 1793, qui a été adopté sous le nom de "Loi Esquire de Parieu".
Après la chute de Robespierre et la fin du régime de la Terreur, il est exclu des Jacobins. Il reprend son activité littéraire et publie en 1802 l'ouvrage "Tableau historique de la Géographie ancienne et moderne" qui lui assure une certaine notoriété.
Il a également été membre de plusieurs sociétés savantes telles que l'Institut national des sciences et des arts, dont il est élu à sa fondation en 1795 et de la Société de Géographie qu'il préside de 1806 à 1823.
Durant les Cent-Jours, il soutient Napoléon Ier mais refusera d'être candidat aux élections législatives de 1815 en raison de son âge avancé. Il décède le 24 novembre 1830 à Paris à l'âge de 70 ans.
