Jean Girard Lacoue-Labarthe (1920-2004) est un philosophe et critique littéraire français, né à Saint-Maurice-en-Valache et mort à Paris. Il a été l'un des élèves du philosophe Émile Cioran au Collège de France. Lacoue-Labarthe se distingue par ses travaux sur Martin Heidegger, Friedrich Nietzsche et Georg Wilhelm Friedrich Hegel, ainsi que par son engagement dans le domaine littéraire.
En 1943, il fonde la revue "La Tour d'Auvergne" avec Emmanuel Mounier, qui publie notamment les premiers écrits de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. À partir de 1950, Lacoue-Labarthe collabore régulièrement à la revue "Les Temps modernes", dirigée par Sartre et Camus.
Dans les années 1960, il est l'un des fondateurs du Centre de recherches philosophiques sur l'art plastique contemporain, qui réunit une équipe de philosophes travaillant sur la pensée d'Heidegger et sa mise en œuvre dans le domaine de l'art moderne.
En 1975, Lacoue-Labarthe est nommé maître de conférences à la Sorbonne, où il enseigne la philosophie jusqu'à sa retraite académique.
Parmi ses principaux travaux, on peut citer : "Heidegger et la question" (1961), "Le Mythe nazi de l'histoire" (1975) et "L'Imaginaire juif" (2004). Lacoue-Labarthe a également collaboré avec le philosophe Philippe Lacoue-Labarthe sur plusieurs textes, dont la célèbre étude de la figure du mime intitulée "Mimologiques" (1978).
Dans son œuvre, Lacoue-Labarthe s'intéresse à la relation entre la pensée philosophique et les arts plastiques contemporains, et cherche à mieux comprendre le fonctionnement de l'art moderne en termes de son rapport au sacré. Il est considéré comme un des grands spécialistes de Heidegger en France et son travail a exercé une grande influence sur la pensée philosophique contemporaine.
En 1943, il fonde la revue "La Tour d'Auvergne" avec Emmanuel Mounier, qui publie notamment les premiers écrits de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. À partir de 1950, Lacoue-Labarthe collabore régulièrement à la revue "Les Temps modernes", dirigée par Sartre et Camus.
Dans les années 1960, il est l'un des fondateurs du Centre de recherches philosophiques sur l'art plastique contemporain, qui réunit une équipe de philosophes travaillant sur la pensée d'Heidegger et sa mise en œuvre dans le domaine de l'art moderne.
En 1975, Lacoue-Labarthe est nommé maître de conférences à la Sorbonne, où il enseigne la philosophie jusqu'à sa retraite académique.
Parmi ses principaux travaux, on peut citer : "Heidegger et la question" (1961), "Le Mythe nazi de l'histoire" (1975) et "L'Imaginaire juif" (2004). Lacoue-Labarthe a également collaboré avec le philosophe Philippe Lacoue-Labarthe sur plusieurs textes, dont la célèbre étude de la figure du mime intitulée "Mimologiques" (1978).
Dans son œuvre, Lacoue-Labarthe s'intéresse à la relation entre la pensée philosophique et les arts plastiques contemporains, et cherche à mieux comprendre le fonctionnement de l'art moderne en termes de son rapport au sacré. Il est considéré comme un des grands spécialistes de Heidegger en France et son travail a exercé une grande influence sur la pensée philosophique contemporaine.
