Jean-François Jarrige, né le 28 mars 1943 à Marseille et décédé le 30 septembre 2007, était un archéologue français.
Il a commencé sa carrière dans les années 1960 en travaillant pour le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Ses travaux ont porté sur diverses régions du monde, notamment l'Anatolie, la Grèce, la Syrie et l'Égypte.
En 1968, il a été recruté par le Musée de l'Homme pour travailler à partir du site archéologique de Tell el-Amarna en Égypte. C'est à cette époque qu'il a détecté des inscriptions en cuneiforme dans la nécropole royale d'Akhenaton, ce qui a permis de découvrir l'existence de relations diplomatiques entre l'Égypte et l'Assyrie à l'époque du Nouvel Empire.
Jean-François Jarrige est surtout connu pour son travail dans le domaine des études assyriologiques. Il a été professeur d'assyriologie à la Sorbonne, puis directeur du Département des Antiquités orientales du Musée du Louvre de 1987 à 1995. Ses publications les plus importantes sont "Assyrie et Babylonie" (1984) et "Les religions en Asie Ancienne" (1993).
Sa contribution majeure à l'assiro-babylonologie a été la découverte d'un grand nombre de tablettes cunéiformes datant de l'Assyrie et de la Babylonie, qui ont permis une meilleure compréhension des sociétés et des institutions de ces civilisations.
Jean-François Jarrige a également été engagé en politique dans les années 1980, lorsqu'il s'est opposé à la vente aux enchères d'objets archéologiques français au nom du patrimoine national.
Il a commencé sa carrière dans les années 1960 en travaillant pour le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Ses travaux ont porté sur diverses régions du monde, notamment l'Anatolie, la Grèce, la Syrie et l'Égypte.
En 1968, il a été recruté par le Musée de l'Homme pour travailler à partir du site archéologique de Tell el-Amarna en Égypte. C'est à cette époque qu'il a détecté des inscriptions en cuneiforme dans la nécropole royale d'Akhenaton, ce qui a permis de découvrir l'existence de relations diplomatiques entre l'Égypte et l'Assyrie à l'époque du Nouvel Empire.
Jean-François Jarrige est surtout connu pour son travail dans le domaine des études assyriologiques. Il a été professeur d'assyriologie à la Sorbonne, puis directeur du Département des Antiquités orientales du Musée du Louvre de 1987 à 1995. Ses publications les plus importantes sont "Assyrie et Babylonie" (1984) et "Les religions en Asie Ancienne" (1993).
Sa contribution majeure à l'assiro-babylonologie a été la découverte d'un grand nombre de tablettes cunéiformes datant de l'Assyrie et de la Babylonie, qui ont permis une meilleure compréhension des sociétés et des institutions de ces civilisations.
Jean-François Jarrige a également été engagé en politique dans les années 1980, lorsqu'il s'est opposé à la vente aux enchères d'objets archéologiques français au nom du patrimoine national.
