Jean-François Champollion, né le 23 décembre 1790 à Figeac (Lot) et mort le 4 mars 1869 à Gex (Ain), est un égyptologue français. Il est connu pour avoir été le premier à décoder intégralement les hiéroglyphes égyptiens, ce qui a permis de comprendre l'histoire et la culture de l'Égypte antique.
Après des études classiques au collège Louis-le-Grand, Champollion entre à l'École polytechnique en 1809. Il ne la termine pas parce qu'il a été exclu après le coup d'État de Napoléon Ier en 1815. Cependant, sa formation technique et ses connaissances linguistiques vont lui être très utiles pour l'étude des hiéroglyphes égyptiens.
En 1820, Champollion publie un travail sur l'écriture royale égyptienne qu'il appelle "hieroglyphique-démotique". En 1822, il est nommé conservateur du Muséum d'histoire naturelle de Toulouse.
En 1824, il publie son ouvrage le plus connu : "De l'écriture égyptienne" dans lequel il réunit ses recherches et découvertes sur les hiéroglyphes. Cette publication permet à Champollion de confirmer sa théorie selon laquelle l'écriture royale est le même que l'écriture sacrée et qu'il y a une correspondance entre cette écriture et l'alphabet grec.
En 1825, Champollion va à Rome où il étudie les papyrus royaux d'Amarna qui sont des textes égyptiens rédigés dans la langue et l'écriture de ce pharaon. Cela lui permet de confirmer sa théorie et de découvrir que le nom du dieu Amon est "Amun".
En 1828, Champollion vient en Égypte pour continuer ses recherches sur place. Il y reste jusqu'à sa mort et étudie les monuments et les textes de l'Égypte antique. Grâce à ses découvertes, il permet à la fois de comprendre l'histoire et la culture de l'Égypte antique et d'amorcer l'égyptologie moderne.
Champollion est considéré comme un des plus grands égyptologues français. Il a été inhumé dans la cathédrale Saint-Pierre à Figeac, sa ville natale.
Après des études classiques au collège Louis-le-Grand, Champollion entre à l'École polytechnique en 1809. Il ne la termine pas parce qu'il a été exclu après le coup d'État de Napoléon Ier en 1815. Cependant, sa formation technique et ses connaissances linguistiques vont lui être très utiles pour l'étude des hiéroglyphes égyptiens.
En 1820, Champollion publie un travail sur l'écriture royale égyptienne qu'il appelle "hieroglyphique-démotique". En 1822, il est nommé conservateur du Muséum d'histoire naturelle de Toulouse.
En 1824, il publie son ouvrage le plus connu : "De l'écriture égyptienne" dans lequel il réunit ses recherches et découvertes sur les hiéroglyphes. Cette publication permet à Champollion de confirmer sa théorie selon laquelle l'écriture royale est le même que l'écriture sacrée et qu'il y a une correspondance entre cette écriture et l'alphabet grec.
En 1825, Champollion va à Rome où il étudie les papyrus royaux d'Amarna qui sont des textes égyptiens rédigés dans la langue et l'écriture de ce pharaon. Cela lui permet de confirmer sa théorie et de découvrir que le nom du dieu Amon est "Amun".
En 1828, Champollion vient en Égypte pour continuer ses recherches sur place. Il y reste jusqu'à sa mort et étudie les monuments et les textes de l'Égypte antique. Grâce à ses découvertes, il permet à la fois de comprendre l'histoire et la culture de l'Égypte antique et d'amorcer l'égyptologie moderne.
Champollion est considéré comme un des plus grands égyptologues français. Il a été inhumé dans la cathédrale Saint-Pierre à Figeac, sa ville natale.
